Skip to main content
Films Actors Directors | Films7.com
Films actors directors
Audio
Models
Twitter
TOP
Notes les plus lues
Song to Song | Terrence Malick
...
Les Garçons sauvages / Vimala Pons, Mathilde Warnier, Diane Rouxel, Anaël Snoek, Pauline Lorillard | Bertrand Mandico
...
Jean-Luc Godard à Anne Wiazemsky : Je suis tombé amoureux de la jeune fille de la photo, d'Au hasard Balthazar, de Robert Bresson
...
L'acteur lecteur diseur : dire Proust, par André Dussollier et Denis Podalydès. L’oeil est paresseux. Avec la voix, on ne peut rien rater
...
Léna (Aurélia Nolin) c'est l'Unique | Gilles Deleuze, Cinéma I : Chez Rohmer, c'est toute une histoire de choix. Le vrai choix est censé tout nous redonner
...
FEMIS : Gilles Deleuze, l'espace visuel chez Robert Bresson, les valeurs tactiles, les mains raccordant les bouts d'espace. Un créateur, c'est pas un être qui travaille pour le plaisir. Un créateur ne fait que ce dont il a absolument besoin
...
La couleur d'Eva Green | BRUNE BLONDE La chevelure féminine dans l'art et le cinéma
...
John Cassavetes : moi-même, je suis à moitié fou. Et je pense que tout le monde est au bord de la folie mais ne veut pas l'admettre et prétend que c'est l'autre qui a tort
...
Antonioni : Les fous voient des choses que nous ne voyons pas. Avec la raison, on ne s'explique ni le monde, ni l'amour, ni rien d'important. Ne suis pas de ceux qui croient tellement à la raison
...
La théorie de François Truffaut était que l'être humain a une capacité limitée d'avoir des amis et que si vous en ajoutez un nouveau, il en chasse un autre. Comme il ne voulait pas les chasser, il ne rencontrait personne
...
Tournage de Conte d'été : Eric Rohmer chante "Je suis une fille de corsaire", avec Gwenaëlle Simon et Melvil Poupaud
...
Gérard Depardieu : Aujourd'hui, tout le monde rêve d'une vendeuse de Prisunic qui soit une star, point. Le reste, c'est autrement plus difficile. Comme dit Molière : Qu'il est long le chemin du projet à la chose
...
Coeurs purs | Roberto De Paolis : Pour envisager de rester ensemble, ils doivent apprendre à s’éloigner des convictions sur lesquelles ils se sont construits | Selene Caramazza, Simone Liberati
...
Gilles Deleuze : Les gens qui disent "il n'y a plus d'auteurs aujourd'hui" supposent qu'ils auraient été capables de reconnaître ceux d'hier, au moment où ils n'étaient pas encore connus. C'est très vaniteux
...
David Cronenberg à son agent qui ne voulait pas qu'il fasse Crash pour ne pas ruiner sa carrière : Mais c'est cela, ma carrière !
...
Gérard Depardieu : pour que les maladresses deviennent des grâces ; je suis davantage fasciné par la maladresse, qui est de la générosité, que par la technique ou l'assurance
...
Gilles Deleuze / Minnelli : si vous êtes pris dans le rêve de l'autre, vous êtes foutu
...
Antonioni : Lucia Bosè était merveilleuse. Ce n'était pas une actrice. Pour obtenir le résultat que je voulais, j'ai dû recourir à la violence, psychologique et physique
...
Martin Scorsese : La musique du Mépris de Godard dans Casino. J'adore Le Mépris, ses couleurs, l'usage du Scope. Le sujet aussi : ce couple qui se déchire. La femme qui part avec le producteur. Et la magnifique tristesse de tout cela
...
Vincent Macaigne, de l'amour : savoir combien de temps t'auras assez d'amour pour les gens, pour résister à la médiocrité des autres ?
...
Alain Bergala, Godard au travail - Comment est née la phrase d'Anna Karina dans Pierrot le fou, "qu'est-ce que je peux faire, j'sais pas quoi faire"
...
Jean-Claude Brisseau : Je suis hostile à un nouveau style de découpage où la caméra se déplace sans arrêt ; on ne voit plus rien. Souvent, on n'utilise cette figure que pour donner artificiellement du rythme
...
Gérard Depardieu : Je veux rendre l'image la plus souple, la plus libre de l'acteur
...
Ariane Labed : quelque chose de l'ordre de la maladresse et de la perte, que Yorgos Lanthimos cherche chez l'acteur
...
Jeanne Moreau : Cette recherche dans les abysses. Plus on dit des choses sur soi, justes, vraies, plus le mystère s'épaissit
...
Casting. La technique du forcing, méthode jeune premier agricole. - Bertrand Blier : Sa technique (Gérard Depardieu, pour obtenir le rôle principal des Valseuses), c'était de venir tous les jours. Il y avait une espèce d'encerclement
...
Jacques TATI explique à Truffaut et Bazin la différence entre son style comique et celui de Charlie Chaplin
...
Pierrot le Fou n'est peut-être pas un film "fini". Mais c'est à coup sûr un film "commencé" | JEAN DE BARONCELLI, LE MONDE 1965
...
David Cronenberg : Nous possédons des antennes sensibles à des choses différentes. Ce que nous faisons entrer dans nos corps et notre système nerveux est si vaste, un surplus s'écoule dans notre art, on ne peut pas l'incorporer à la vie
...
Formation de ballerine et jeu d'actrice | Alicia Vikander | such subtle things in terms of posture or the way you walk (Alex Garland) | ses déplacements ondulatoires hypnotiques (CNRS)
...
Camille Berthomier (JEHNNY BETH) | Jean-Paul Civeyrac : J'étais membre du jury au Conservatoire. Elle passait une audition. J'étais en état d'admiration. J'ai eu envie de la filmer. J'ai écrit le film pour elle
...
Jean-Michel Frodon : si Robert Bresson filme Marika Green comme la Renaissance italienne a peint les saintes, il donne l'impression d'avoir surtout éprouvé violemment la beauté des femmes chez Botticelli, Giorgione ou Carpaccio
...
Godard : J'ai mis 10 ans à faire un film, parce que c'est un milieu très fermé, très corporatiste... Si tu n'as pas un oncle, ou un ami, ou un grand-père pour te faire rentrer là, tu n'y entres pas
...
Michael Cimino : Nous sommes en mouvement et on ne revient nulle part
...
Rooney Mara : Una | Benedict Andrews | 'Una' gazes into the heart of a devastating form of love and asks if redemption is possible
...
HITCHCOCK : Après le dernier plan de VERTIGO...
...
Proust / Hitchcock / Godard : le souvenir n'est pas inventif, il est impuissant à désirer rien d'autre
...
Acteur d'occasion et Acteur professionnel : Alain Resnais et Antonin Artaud défendent les trouvailles propres à l'acteur professionnel
...
Ariane Labed : Jouer nue, ça fait partie de l’ordre de l’engagement du corps entier que je peux offrir dans un film. Je trouve ça beau de faire ça, d’offrir ça, si ça vaut le coup
...
A propos du Gros Plan et du visage humain (Mise en scène Cinéma / Théâtre). Paroles d'Antonioni, Bergman, Bresson, Chéreau, Godard, Larrain, Renoir, Syberberg, Tati, Truffaut, Vitez, Welles | + Proust
...
Jessica Lange : Frances Farmer s'est révoltée contre la qualité du travail qu'on lui faisait faire à Hollywood. Un difficile saut dans le réel !
...
David Lynch : la violence dans les films a atteint un degré absurde. Je suis tombé amoureux d'Une histoire vraie
...
ALAIN RESNAIS : Une des grilles qui m’intéressent dans le film, c’est celle des univers parallèles. Il est fort possible que tous les personnages aient raison
...
Le mouvement des corps chez Jean-Luc Godard | Jacques Bonnaffé
...
Ingmar Bergman : L'actrice Harriet Andersson est un des rares génies cinématographiques | Regard caméra - Monika
...
Eric Rohmer : Ce que j'aime montrer, c'est le visage et les mains en même temps. J'aime les décors hauts, j'ai toujours aimé les montagnes. Je n'aime pas du tout le format appelé panoramique
...
Leos Carax : La panique de ne pas arriver à la légèreté dont on rêve. Le bonheur inouï. C'est l'élan qui est beau. Tout devient un peu dégoûtant si on sait tout
...
Jean-Luc Godard : Monika (Bergman), c'était déjà Et Dieu... créa la femme, mais réussi de façon parfaite
...
Antonioni à Godard : Je ne considère pas le Désert rouge comme un aboutissement : c’est une recherche. Tout ce qui a été fait m’ennuie. Peut-être ressentez-vous aussi la même chose ?
...
British Film Institute - CAROL élu meilleur film LGBT de tous les temps | ROONEY MARA, CATE BLANCHETT, TODD HAYNES
...
Orson Welles, direction d'acteur : Il faut que l'acteur se prenne pour un génie et qu'il aille au-delà de ses limites. Il y a des tas de moyens d'y parvenir
...
Jean-Luc Godard : Les femmes, les actrices, je ne les ai pas très bien traitées. J'ai respecté leur beauté aléatoire, mais je n'ai pas fait très attention à ce qu'elles pouvaient dire ou faire | Jean Seberg, copiée / citée de Preminger
...
Philippe Grandrieux : Explorer l’âme humaine à travers des personnages complexes c’est quelque chose qui me guide dans mon cinéma et que je retrouve dans la littérature, en particulier chez Dostoïevski ou Proust
...
Du gag comique au gag tragique, technique du gag au cinéma. Hitchcock et les gags dramatiques
...
Jean-Luc Godard : Ce n'est pas grave de dire "oui" quand un autre dit "non". Mais quand le malentendu est déclenché, alors c'est grave. A la fin, c'est une catastrophe. C'est l'histoire du Mépris
...
Jean-Luc Godard à Robert Bresson : il faut violer la photographie (la cinématographie), la pousser dans ses...
...
CAROL | Todd HAYNES | Rooney MARA | Cate BLANCHETT
...
Conversation avec Rooney Mara (Carol) : la raison du Prix à Cannes, la question des femmes à Hollywood, une scène sexuelle de Carol coupée au montage
...
Paul Valéry : Pouvoir du vide. Pouvoir de la page blanche, pouvoir générateur. On s'assoit devant le vide papier. Et quelque chose s'écrit
...
Kubrick, Shining - la Steadicam comme narrateur : c'est l'hôtel qui voit les événements. L'hôtel comme conscience vivante
...
Isabelle Huppert : Les cours, j'ai pris ce qu'il fallait en prendre. Il faut vampiriser les cours et pas se laisser vampiriser par eux
...
Martin Scorsese : La différence entre Le Parrain, Scarface, Casino, Les Affranchis...
...
Robert Bresson : Le cinéma sonore a surtout inventé le silence | Brigitte Bardot : si tu m'aimes, tais-toi ! - LE MEPRIS - GODARD
...
Martin Scorsese : Qu'est-ce qu'un metteur en scène indépendant ?
...
Serge Grünberg : Le héros cronenbergien est malade. C'est finalement la maladie qui fait avancer le corps humain vers sa perfection envisageable
...
Bella Heathcote, Abbey Lee, Jena Malone, les belles louves dévoreuses de THE NEON DEMON | Nicolas Winding Refn
...
Fabrice Luchini et Jean-Laurent Cochet : Le mythe de l'autodidacte... Y'a des limites. Ma vie a été un miracle le jour où dans un cours de théâtre j'ai vu l'immensité du répertoire
...
Robert Bresson : Scorsese est venu me voir : il avait le désir de m'aider. Je suis allé voir son dernier film : il y a quelque chose. Il travaille avec des rythmes et des sons
...
Michel Audiard : Je résous les problèmes en commençant à écrire. Il ne faut pas se demander comment démarrer, il faut le faire. Si je réfléchis trop, je n'ai plus envie de faire le film
...
Martin Scorsese : Raging Bull parlait de moi - J'ai arrêté la drogue. J'avais retrouvé ce que j'avais envie de faire, de dire
...
Pierre Berthomieu, POSITIF : Song to Song. Aucun film de Malick ne donnait à ce point un vertige troublant du réel saisi dans une perspective physique. Inlassable, la caméra révère les courbes des hanches, le bas-ventre féminin, comme le Song of Songs
...
Fraisse / Terrence Malick / Proust : Le seul véritable voyage du Nouveau Monde, c'est celui entrepris par Pocahontas-Rebecca (Q'orianka Kilcher). Elle seule pérégrine. Smith, quant à lui, s'agite et explore des culs-de-sac
...
Pierre Richard : l'horlogerie du scénario comique. Finalement, il n'y a que le travail... L'idée, c'est autre chose
...
Patti Smith : art, livres, opéra, cinéma, Godard, Bresson, et Rock and Roll... : J’ai choisi résolument d’être libre et de n’être dépendante de rien. Sauf de l’art peut-être. Ou de l’amour
...
Alain Badiou : Robert Bresson dit que la jeunesse est tentée par une sorte d'absence radicale. Il fait un cinéma des appels : inclinée sur le suicidaire, c'est la courbe dense d'une nuque de femme
...
François Truffaut : le style des plus grands cinéastes du monde | Le point de vue du metteur en scène, par Sidney Lumet | + Paul Valéry, Louis Jouvet, Yoshi Oida, Fellini
...
Federico Fellini : Conscience et créativité. Spontanéité | Critère pour juger une oeuvre d'art
...
Jean-Luc Godard sous l'influence de Robert Bresson pour arriver à Dreyer. Histoire d'une citation de Vivre sa vie
...
Vimala Pons / Louis Jouvet : tout est suspect sauf le corps et ses sensations. Parfois moi je sais plus où j'en suis, de revenir à des choses simples, ça me calme quoi
...
Dans la scène de cérémonie masquée d'Eyes Wide Shut, l'étrangeté vient de ce que Jocelyn Pook mélange des cordes et différentes voix récitant des psalmodies échantillonnées à l'envers, magnifiant l'impression de secret obscur et de connivence sectaire
...
Fritz Lang : lorsque tu as une théorie sur quelque chose, tu es déjà mort. Il nous faut créer des émotions et non suivre des règles. Il n’y a pas de règles
...
Rohmer : Que font les personnages de La Collectionneuse ? Ils se grattent
...
Antonioni à Godard : tous ces plans d'objets, c’est une sorte de distraction du personnage; Il est las d’entendre toutes ces conversations. Il pense à Giuliana
...
Jean-Luc Godard : Et c'est là que j'ai compris que si on veut fabriquer une image il ne faut pas la voir
...
Leos Carax, de Juliette à Rooney Mara : Mon plus gros travail avec l'acteur, c'est de le choisir. Une actrice, c'est une question, ce n'est pas une réponse. Et ce n'est pas en la déshabillant qu'elle deviendra une réponse à quelque chose. C'est un sphynx
...
Deleuze : Antonioni a toujours cru aux couleurs du monde, à la possibilité de les créer, et de renouveler toute notre connaissance cérébrale
...
Laurent Terzieff : je ne devais rien et ma liberté de donner était régie par la gratuité et non par le devoir
...
Natalie Portman : I love Terry. Malick déconstruit tous les rituels de tournage : pas cette obligation d’avoir une continuité dans les lieux ou les habits à l’intérieur d’une scène. Vous pouvez désorienter le spectateur et c'est correct
...
Marcel Proust, le cadre de la femme la rattache non à la réalité mais à l'imaginaire. L'héroïne enferme dans son visage un peu du décor
...
Fellini : mon Casanova et le Barry Lyndon de Kubrick suffoquent tous deux dans un espace vide : l'un est étouffant, l'autre est tellement vaste qu'il en devient également asphyxiant
...
To The Wonder (A la merveille) | Terrence Malick | Critiques et Analyses | Making of
...
Robert Bresson, à Jean-Luc Godard : Une chose réussie, disait Paul Valéry, est une transformation d’une chose manquée. Mot admirable
...
Orson Welles : Je croyais que le metteur en scène devait tout faire. Gregg Toland ne disait rien et, discrètement, arrangeait un peu les choses derrière mon dos
...
Jean Aurel : érotique du scénario. Les gens croient plus à ce qu'ils devinent qu'à ce qu'ils voient. Le travail du scénariste est de savoir comment cacher et dévoiler. Quand une scène ne cache rien, elle n'est pas bonne. Une scène d'amour comme un meurtre
...
Jean-Luc Godard : J'aurais aimé faire Le Mépris avec Kim Novak aussi, en lui gardant le côté complètement passif de Vertigo. Son mystère, c'est sa mollesse
...
La vraie fin des Valseuses, coupée par Bertrand Blier
...
Gilles Deleuze : le plus important chez Visconti : l'idée, ou plutôt la révélation que quelque chose vient trop tard : la révélation sensible et sensuelle d'une unité de la Nature et de l'Homme
...
Ariane Mnouchkine : Elle est peut-être en train de finir, cette ère du cynisme bien vu, du désenchantement comme signe d'intelligence. Il faut cultiver un enchantement indispensable
...
David Cronenberg : le corps est le fait primordial. Pour moi, le cinéma est fondamentalement tactile, sensuel, pas seulement visuel. Il faut que la pensée s'incarne physiquement
...
Ariane Labed : J’aimerais bien qu’on puisse se reposer des questions sur les structures narratives du cinéma
...
Crash / Cronenberg / Ballard : La passion sexuelle, chez beaucoup de gens, se développe à un niveau intellectuel plutôt que physique. Tout a lieu dans la tête. Crash oublie toute la machinerie démodée des conventions dramatiques qui limite tant le medium
...
Jeanne Moreau, François Truffaut : Il avait de la tolérance. Il y a cette fameuse phrase de Renoir : Ce qu'il y a de terrible sur cette terre, c'est que tout le monde a ses raisons
...
Godard : le Rohmer que je trouve à fond bien, c'est La Collectionneuse
...
Laurent Terzieff : Il y a sept types de critiques | Paul Valéry : Résumé de la critique connue | Alain Bergala : Stratégie critique | + Woody Allen, Jean-Luc Godard
...
Tim Burton : enfant, ce n'étaient pas les monstres, mais plutôt les humains qui me déroutaient
...
Jean-Laurent Cochet : Gérard Depardieu aurait pu rester ça, cet espèce d'homme des bois, un peu insolite... Mais il s'est mis à travailler, mais comme un dingue. Il dévorait tout le théâtre de Racine
...
Asia Argento : Les rêves du film provoquent la réalité de ma vie - Construire une chimère, c’est provoquer la réalité
...
Raoul Coutard, chef opérateur : la peinture, j'en tiens compte, mais ce n’est pas une image de cinéma, parce qu’on ne pourrait pas la regarder aussi longtemps, parce qu’une autre image arriverait à la place
...
Dominique Besnehard : la direction d'acteur de Maurice Pialat. Il était très fort pour détourner les relations réelles entre les gens au profit du film
...
Jean-Claude Brisseau : Sabrina Seyvecou, très bonne comédienne, a réussi à faire de son personnage quelque chose d'important, il s'est développé | Choses Secrètes
...
Roland Barthes / Proust : ADORABLE. La coupe d'un ongle, une dent un peu cassée en biseau, une mèche, une façon d'écarter les doigts... Pour que je trouve l'Image qui, entre mille, convient à mon désir. Grande énigme
...
Greta Gerwig, Lola Kirke : J'ai envie de tout faire mais je trouve pas l'angle d'attaque pour en faire du vrai, du solide | MISTRESS AMERICA | Noah Baumbach
...
François Florent : la perception des physiques et des possibilités d'acteurs n'est pas du tout la même au début et à la fin de la formation
...
et passent dans la vie les yeux baissés | Flaubert / Robert Bresson | Les visages aux yeux baissés de Marika Green, Laetitia Carcano, Anne Wiazemsky, Florence Delay, Dominique Sanda
...
Michelangelo Antonioni : Enfin, je ne sais pas. Si vous me reposez la question dans dix minutes, peut-être vous répondrais-je autrement
...
Jean-Luc Godard : Aujourd'hui on ne parle plus. J'aime la dispute. L'avantage du cinéma, de la littérature, de l'art, c'est de faire des disputes violentes, de ne pas chercher le compromis. Les artistes n'ont pas besoin de compromis
...
François Truffaut, direction d'acteurs : la ruse est importante. Indications à l'insu des acteurs
...
Alain Bergala : Les scènes les plus troublantes de Hitchcock sont souvent celles où une tension sexuelle cachée pousse sous le scénario de surface, le déforme, où un motif ordinaire est surinvesti par un affect déplacé, comme dans le rêve
...
Crash de Cronenberg / J. G. Ballard : Je crois en cette liberté fondamentale qu'est le jeu avec notre psychopathologie. Dans le domaine de la poésie et de la fiction, nous pouvons explorer les domaines qui, en tant que citoyens, nous restent interdits
...
Martin Scorsese, Cape Fear : Le jeu de De Niro est excessif, c'était son intention et je la trouvais bonne. Il fallait faire oublier la première version, atteindre un autre état d'esprit
...
Jean-Luc GODARD : Je me suis remis à jouer au tennis, parce qu'au tennis, quand on envoie la balle, le principe, c'est de vous la renvoyer. Alors que dans la vie, quand on envoie la balle, le principe, c'est de la garder
...
Tarantino : Tout le monde pense qu'un film doit être linéaire. Je ne vois pas pourquoi
...
George Lucas "film-maker" / George Cukor "film-director"
...
Gérard Depardieu : Il faut jouer énormément avec les gênes, c'est plus intéressant que d'être à l'aise et d'y rester, c'est toute la différence entre le naturalisme et le réalisme
...
Truffaut : ça peut paraître naïf aux gens, mais les acteurs sont influencés par ce qu'ils jouent
...
Emily Blunt : Ecris-moi un rôle comme tu l'écrirais pour un homme, sans te poser la question de ma féminité
...
Les Révélations 2018 / Comédiennes Comédiens | Le film de Deniz Gamze Ergüven | Académie des César | Présélections pour le César 2018 du Meilleur Espoir Féminin et le César 2018 du Meilleur Espoir Masculin | Acteurs et Actrices
...
Entretien Godard - Antonioni : psycho-physiologie de la couleur
...
Michael Cimino, l'Ouest mythique au cinéma : il n'y avait jamais de figurants à l'arrière-plan, les rues étaient toujours vides, parce que c'était simplement moins cher à faire
...
Aragon - Godard : Pendant que j'assistais à la projection de Pierrot, j'avais oublié ce qu'il faut, paraît-il, dire et penser de Godard. C'était beau. D'une beauté surhumaine. Physique jusque dans l'âme et l'imagination
...
Eric Rohmer, l'artiste et la politique : celui qui est fait pour exalter les passions des hommes ne peut être que leur piètre modérateur. C’est à l’organisation du plaisir que l’artiste devrait s’attacher
...
Casting. "TV Q" de l'acteur - Test de popularité des acteurs
...
Pascal Bonitzer : écriture de scénario, état de conscience du personnage et style de jeu de l'acteur. Bergman, Fellini
...
Bernardo Bertolucci : Ma seule grande école de cinéma a été la Cinémathèque française. D'après moi, l'unique école est d'aller au cinéma
...
Louise Chevillotte : Nymphomanie ? Incarner un personnage d'une femme qui a du plaisir, qui accepte son désir, c'est une fierté. C'est tabou, c'est important de le mettre en lumière
...
Fabrice Luchini : J'avais un besoin immense d'être aimé et je m'effondrais dès qu'on ne m'aimait plus. Pour les angoissés, il n'y a qu'une obsession, c'est "Allez les verts! !". S'il n'y a pas "Allez les verts !", c'est le chaos
...
Claude Sautet : Pour César et Rosalie, j'avais écrit une fin tragique, puis j'ai vu Jules et Jim et j'ai dû trouver une fin ouverte en pirouette // Sasha Grey et la fin tragique de Jules et Jim de Truffaut
...
David Lynch : Tout est basé sur les échecs. ABC a rendu service à Mulholland Drive, en en refusant le pilote. Il fallait que ce projet en passe par là, ouvrant des pistes narratives sans les refermer
...
HITCHCOCK : Vertigo, féerie psychologique, est beaucoup plus important pour moi que North By Northwest, divertissement très amusant
...
Marcel Proust / Natalie Portman : elle s'était commandé une toilette de deuil. Dans la vie de la plupart des femmes, tout, même le plus grand chagrin, aboutit à une question d'essayage
...
Robert Bresson à Godard : l'oreille est beaucoup plus créatrice que l’oeil
...
Howard Hawks : la voix de Lauren Bacall
...
Paul Valéry défend Terrence Malick (et Marcel Proust) de l'accusation de dépeindre des privilégiés
...
Eric Rohmer : Ce qui m’irrite, ce que je n’aime pas dans le cinéma moderne, c’est le fait de réduire les gens à leur comportement ; mes Contes Moraux ont certainement un côté onirique
...
John Hurt / Natalie Portman | JACKIE | Pablo LARRAIN : There comes a time in man’s search for meaning, when one realizes -- there are no answers
...
Nicole Vedrès : le courrier des « fans » à telle vedette féminine, en rapport direct avec le budget de publicité consacré à cette vedette
...
Anne Hathaway : Love is the one thing we’re capable of perceiving that transcends dimensions of time and space. Maybe we should trust that, even if we can’t yet understand it | INTERSTELLAR, Christopher NOLAN
...
Proust, Dostoïevski, Malick, Fellini : réalité intérieure et dynamique. Ma riche fantaisie avait créé une réalité
...
Tarkovski : Pour le montage, mon principe est le suivant : le film est comme un fleuve : le montage doit être infiniment spontané, comme la nature même
...
Martin Scorsese : Tarantino et moi. Aujourd'hui, le héros ironique est "in", tandis que le héros existentiel serait "out"
...
Laurent Terzieff. Direction d'acteur. Le dit et le non-dit
...
Lucie Borleteau, réalisatrice : Lorsqu’Ariane Labed est descendue en bleu de travail dans les machines d’un bateau... Il y avait mon désir, et il y avait son mystère...
...
Il est ainsi - Terrence Malick
...
Roland Barthes : Proust. Je fouille le corps de l’autre, comme si je voulais voir ce qu’il y a dedans, comme si la cause mécanique de mon désir était dans le corps adverse. Lire, sans rien y comprendre, la cause de mon désir
...
Godard : Il faut laisser les gens vivre leur vie, ne pas les regarder trop longtemps, sinon on finit par n'y plus rien comprendre
...
Anne Wiazemsky | Robert Bresson, à Jean-Luc Godard : Il fallait trouver un mouvement, une montée dramatique. J’ai pensé à une fille. A la fille perdue. Ou plutôt : à la fille qui se perd
...
Passage du cinéma, 4992 | le seul livre à raconter l'histoire du cinéma (Jean-Luc Godard)
...
Federico Fellini : choix des acteurs et des visages, travail avec les acteurs
...
Robert Bresson : Quelqu'un me disait : "Au cinéma on a tout fait". Le cinéma est immense. On n'a rien fait | Ariane Labed : le cinéma peut tout inventer
...
Alain Bergala : Michel Piccoli pense que la musique de Delerue sort de la souffrance des personnages : ma partition d'acteur et celle de Delerue, c'était la même humeur, le même secret
...
Il faudrait plus d'apprentissage sur les émotions au lycée | Netflix / 13 Reasons Why | Hannah est une personne imparfaite. Elle repousse les gens, des gens qui l'auraient soutenue
...
Orson Welles : J'avais appris tout ce que je savais dans la salle de projection, en regardant Ford. Pas prendre exemple sur quelqu'un qui avait quelque chose à dire, mais qui me montrerait comment dire ce que j'avais à dire
...
Paul Schrader, scénariste de Taxi Driver et Raging Bull, explique comment il choisit ses étudiants en écriture de scénario
...
Robert Bresson : Mon coeur va constamment vers ces garçons et ces filles qui s'interdisent une société fondée scandaleusement sur l'argent et le profit, sur la guerre et la peur
...
La femme symboliste dans l'oeuvre d'Alfred Hitchcock | Hitchcock et l'art, Coïncidences fatales
...
Steve Carell, to Rooney Mara (Carol): I was hanging on your face. It was fascinating
...
Peter Greenaway : J'allais voir des films commerciaux comme tout le monde. Un jour un ami m'emmena voir Le Septième Sceau de Bergman. C'est alors que je me suis rendu compte des possibilités du cinéma
...
Lee STRASBERG : La relaxation est la base de presque tout le travail de l'acteur ; Stanislavski déclarait qu'elle est pour l'acteur une véritable activité professionnelle
...
John Carpenter : le lieu est un personnage
...
John Cassavetes : Tous les acteurs de valeur sont lunatiques, impossibles à vivre. Il est bien qu'il en soit ainsi. Pour jouer vous voulez quelqu'un qui soit en colère. Ce qu'il faut, c'est une compréhension des problèmes humains
...
Quand le premier échec amoureux conditionne le second (L'Eclipse, Antonioni). Le rapport ayant échoué sur le plan de la compréhension, Vittoria instaure un autre rapport dans lequel la compréhension n'a aucune valeur
...
Gérard Depardieu : comment peut-on croire à ce principe de vie basé sur l'opposition blanc-noir, sans ouverture ?
...
Martin Scorsese : De Niro voulait une actrice capable de lui tenir tête, de devenir folle... il avait besoin d'une vérité dans la colère | Sharon Stone dans Casino
...
L'acteur en attente du prochain rôle, vu par Georges Beaume, agent artistique
...
Truffaut : Hitchcock a projeté sur l'écran toutes ses émotions, qu'il ne vivrait jamais, qu'il ne connaitrait jamais | Hitchcock et ses actrices | Tippi Hedren
...
La direction d'acteurs vue par Billy Wilder
...
Deleuze : Nudité du visage plus grande que celle des corps | Ariane Labed : je me sens aussi nue quand la caméra est juste sur mon visage, que quand je suis à poil
...
Jaoui / Bacri : Les acteurs sont les meilleurs lecteurs de scénario. Souvent les producteurs ou les gens qui ont la responsabilité de financer des films ne savent pas les lire. Comment le texte va prendre forme et corps
...
Christine Boisson, quel a été votre meilleur partenaire dans votre carrière ? - Depardieu : un vrai corps, un lyrisme, une générosité
...
Paul Valéry, De la diction des vers : Racine et Gluck
...
Céline Sallette et Roland Barthes : aimer à fond quelqu'un d'inconnu, et qui le reste à jamais (Fragments d'un discours amoureux) - Et propos sur l'expérience de l'acteur
...
Antoine Vitez : Dire Racine. L'emphase est tenue en mépris, car elle semble ne dire autre chose que les passions de l'amour, et il faut parler - dit-on - du gouvernement
...
Doria ACHOUR : Sylvie Ohayon a fait passer un casting qui a duré deux mois, elle trouvait pas sa comédienne. Une nuit elle a passé 3 heures sur un site Internet pour regarder les démos des comédiens, elle est tombée sur un film dans lequel je jouais
...
Marcel Proust : Vinteuil. Preuve de l'existence irréductiblement individuelle de l'âme, c'était quand il cherchait puissamment à être nouveau, qu'on reconnaissait, sous les différences apparentes, les similitudes profondes au sein d'une oeuvre
...
Eliminer une certaine pornographie expressive : Akira Kurosawa, Isabelle Adjani : le jeu de l'acteur dans le théâtre japonais et dans le théâtre européen
...
David Cronenberg : nos rêves subissent l'influence du cinéma. Les gens ne rêvent plus comme il y a un siècle. Ils utilisent des techniques cinématographiques, le montage...
...
Stéphane Braunschweig : un bon acteur pour moi, c'est celui qui me fait entendre un texte comme je ne l'ai jamais entendu | Quand commence la direction d'acteurs
...
Clint Eastwood, réalisateur, casting : pour le choix des acteurs, je préfère me déterminer sur vidéo, sans rencontre
...
Gérard Depardieu : Chacun sa merde, c'est l'humilité avec ses souffrances. Et quand il voit son rêve se réaliser, oh panique, battement de coeur, tension !
...
Orson Welles : pour ma vision du cinéma, le montage n'est pas un aspect, c'est l'aspect. C'est toute l'éloquence du cinéma que l'on fabrique dans la salle de montage
...
Rooney MARA : People just don’t know how to write female dialogue. So many men are afraid of writing female dialogue. We’re not that different, you know, we’re all human
...
Le cinéma indépendant, vu par Jean-Luc Godard : gros plan sur celle qui repasse une robe pour le bal de la princesse Eugénie
...
Fellini : La critique. Comme si vous disiez d'une femme, elle est belle, mais a les épaules trop larges ! C'est justement ça, sa caractéristique. Une chose est belle par son caractère et non parce qu'elle réalise un idéal esthétique général
...
Isabelle Huppert : Je ne pense pas faire partie des actrices que le public aime, je pense que je fais partie des actrices dont le public a besoin
...
Eric Rohmer : Je prends les acteurs comme ils sont. Je ne donne pas d'indications de gestes d'expression. Je préfère les gestes qui ne veulent rien dire
...
Ariane Labed, de la danse au cinéma : je fais tout passer en priorité par le corps. De temps en temps il y a toujours comme ça un corps qui explose ... Un moment où les corps sortent d'eux-mêmes
...
Love Theme From "Zabriskie Point" / Antonioni : Roy Orbison - So Young
...
Sophie Marceau et Antonioni : les metteurs en scène qui vous aident le plus sont ceux qui provoquent chez vous non pas une réflexion mais un état
...
Michelangelo Antonioni, direction d'acteur
...
Ariane Labed : le cinéma peut tout se permettre, il peut tout inventer, créer de nouvelles formes
...
Pages
1
2
3
…
next ›
last »