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SCENARIO
Godard : Il faut laisser les gens vivre leur vie, ne pas les regarder trop longtemps, sinon on finit par n'y plus rien comprendre
Marcel Proust, le cadre de la femme la rattache non à la réalité mais à l'imaginaire. L'héroïne enferme dans son visage un peu du décor
Lena Headey / Cersei Lannister | so layered, endlessly | Game of Thrones
Antonioni : Un plan n'est pas un tableau. A partir de Zabriskie j'ai évité une certaine beauté formelle ; j'ai besoin d'être plus près de la matière, je ne veux pas que la beauté extérieure dérange l'histoire que je veux raconter
Philippe Garrel / Jean-Claude Carrière : Etre scénariste, c'est savoir s'exprimer en dépassant sa propre honte. Les endroits les plus intéressants de sa propre vie ne sont pas ceux dont on est fier
Game of Thrones. Winter is coming, interminable imminence. Le ralentissement face à l'accélération technologique et le désir du retour à un apprentissage dans la difficulté
Coeurs purs | Roberto De Paolis : Pour envisager de rester ensemble, ils doivent apprendre à s’éloigner des convictions sur lesquelles ils se sont construits | Selene Caramazza, Simone Liberati
Game of Thrones. "L'anti-série est devenue la série la plus regardée au monde. L'écriture seule, alors, semblait pouvoir déverrouiller un imaginaire affamé de grandeur"
Tolkien assigne trois buts à la fantasy : le rétablissement, l'évasion, la consolation, trois choses dont les adultes ont plus besoin que les enfants. Pour que cela opère, il faut que le lecteur puisse faire preuve de créance secondaire
Game of Thrones. La place et l'importance des personnages féminins dans un monde dirigé par des hommes. Nombreuses sont celles qui aspirent à ce à quoi elles n'ont pas droit, le Trône de Fer
Robert Bresson : Je ne récuse rien. Je prends plaisir à toutes sortes de films. Je me sens proche de tous ceux qui n'ont pas suivi ou ne suivent pas une mode
et passent dans la vie les yeux baissés | Flaubert / Robert Bresson | Les visages aux yeux baissés de Marika Green, Laetitia Carcano, Anne Wiazemsky, Florence Delay, Dominique Sanda
Jean-Claude Brisseau : Le problème est que si le plaisir est lié au sentiment de franchir une barrière, cette barrière recule sans arrêt. On s'ennuie donc très vite. Lacan dit que ce n'est pas le mal qui pose problème mais le bien
Tonino Guerra : Pour la sortie d'un film, les questions posées par les journalistes sont des questions auxquelles peuvent répondre les scénaristes, sur le contenu du film, tout cela figure dans le scénario. Très rares sont les questions sur le style
Jeanne Moreau : On veut toujours tout expliquer et l'incompréhension grandit entre les individus. Il y a une dichotomie absolue. Quoi qu'on en dise et quoi qu'on fasse, la personnalité d'un être humain est la chose la plus mystérieuse au monde
François Truffaut : J'acceptais très bien l'idée de Renoir, qu'on doit sacrifier l'abstrait au concret, c'est-à-dire que l'acteur qui va jouer un personnage est plus important, plus réel que ce personnage sur papier. J'était prêt à aménager le scénario
Louise Chevillotte : Nymphomanie ? Incarner un personnage d'une femme qui a du plaisir, qui accepte son désir, c'est une fierté. C'est tabou, c'est important de le mettre en lumière
Bertrand Bonello à Laurent Lucas : Toute la difficulté repose sur quel principe de réalité adopter ? Trop près, on devient malin. Trop loin, on devient théâtral et théorique. (Myopie, presbytie... toujours, la même question, le même problème...)
Anne Wiazemsky | Robert Bresson, à Jean-Luc Godard : Il fallait trouver un mouvement, une montée dramatique. J’ai pensé à une fille. A la fille perdue. Ou plutôt : à la fille qui se perd
Gérard Depardieu : Il n'y a pas de recette, pour faire un film. Je pense à Trois hommes et un couffin. Deux millions de gens qui viennent voir un gosse pisser, c'est quelque chose !
Wim Wenders : Paris, Texas. Peu à peu l'endroit même a introduit l'idée de ce décalage. C'était magique, on avait besoin d'un endroit et cet endroit nous donne une justification pour notre histoire
Jacques Doillon : Une des grandes réussites de Cassavetes, dans Une femme sous influence, c'était comment ça durait insupportablement entre sa femme, lui rentrant, les enfants. Quand on veut réduire la scène de ménage ça ne marche pas
Roman Polanski : Je ne veux pas que le spectateur pense ceci ou cela : je veux simplement qu’il ne soit sûr de rien. C’est cela le plus intéressant : l'incertitude
Chez Rohmer, le théâtre du quotidien est bordé par des gouffres qui ont pour nom le sexe, la mort ou Dieu. Ouvrir la porte serait prendre le risque de se confronter au réel, au néant. Face à cette hésitation tragique, ils préfèrent faire marche arrière
Patty Jenkins, Cameron, Wonder Woman : Women can and should be EVERYTHING. If women always have to be hard, tough, troubled to be strong, and we aren’t free to be multidimensional, celebrate an icon, attractive and loving, then we haven’t come very far
Les carnets de Bruce Springsteen sont pleins de mots, pas pleins de notes ou d'accords. Des strophes, des personnages. Leurs vies prennent alors un tour poétique, qu'elles n'ont pas dans la réalité, deviennent des épopées
VIDEOS Twin Peaks / Knight of Cups : This was a vision (Lynch / Frost 1990 // Terrence Malick 2015)
Andrew Sarris : A chaque décade on entend le même refrain : c'est la fin du cinéma. Mais le cinéma continue. Simplement, nous ne percevons pas ses nouvelles formes
Deleuze : Affinité de Kurosawa avec Dostoïevski : l'urgence d'une situation, si grande soit-elle, est délibérément négligée par le héros, qui veut d'abord chercher quelle est la question plus pressante encore
The Stillness Of Twin Peaks / David Lynch (VIDEO)
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