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REVE
Eric Rohmer : J'ai toujours fait des films pour qu'ils prennent tout leur intérêt lorsqu'on y repense, pas seulement pour l'impression immédiate. Il faut que j'aie pu en rêver
Michel Ciment : Les grands cinéastes de l'imaginaire ont tout le temps été attaqués. Un cinéma de l'imaginaire où on nous demande de pénétrer dans la tête de quelqu'un. Or chacun a des rêves différents
Lars von Trier : Si les choses existent dans l'esprit des gens comme dans la réalité, elles doivent être montrées. C'est une obligation
Michel Ciment : Le goût de l'imaginaire et du fantastique. La grande rupture entre Freud et Jung se joue là-dessus. David Cronenberg l'a remarquablement montré dans A DANGEROUS METHOD
Marcel Proust : De telles matinées sont réelles, si l’on veut. Mais on y a cette exaltation où la moindre beauté nous grise et nous donne presque, quoique la réalité habituellement ne puisse pas le faire, un plaisir de rêve
Stéphane Braunschweig : A travers les rêves et les cauchemars de Wotan, Wagner nous livre les angoisses que ce monde lui inspire ; à travers ceux de Brünnhilde, il questionne l'utopie de redonner sens au chaos
A quoi rêvent les personnages de Brian De Palma ?
Proust / Malick : dans l'histoire d'un amour et de ses luttes contre l'oubli, le rêve ne tient-il pas une place plus grande même que la veille... et nous ménage, la nuit, une rencontre avec celle que nous aurions fini par oublier
Peter Bogdanovich : La logique d'un rêve... Je commence à mieux aimer ce film | Orson Welles : Continue à faire des efforts
Ariane Mnouchkine : Elle est peut-être en train de finir, cette ère du cynisme bien vu, du désenchantement comme signe d'intelligence. Il faut cultiver un enchantement indispensable
Casting et corps de l'acteur, les trois champs du rêve et du désir (pour le metteur en scène, pour les acteurs jouant entre eux, pour le spectateur) | Stéphane Braunschweig : Le corps est un enjeu et on ne peut pas faire comme s'il n'existait pas
Proust, Dostoïevski, Malick, Fellini : réalité intérieure et dynamique. Ma riche fantaisie avait créé une réalité
Jorge Lavelli, metteur en scène de théâtre et d'opéra : j'ai choisi de faire beaucoup de lyrique, c'est là que je sentais le plus grand espace de liberté. La musique est chose abstraite, on peut inscrire n'importe quel type de rêve
Asia Argento : Les rêves du film provoquent la réalité de ma vie - Construire une chimère, c’est provoquer la réalité
Fellini : Je ne trouve pas de grande différence entre fantaisie, rêve, et faits advenus dans la réalité. Les songes et les rêves ne sont-ils pas également des faits qui surviennent ?
Personnage, condensation d'humanité. Jouvet / Proust. Tous les bonheurs et tous les malheurs possibles dont nous mettrions dans la vie des années à connaître quelques-uns, et dont les plus intenses ne nous seraient jamais révélés
Beauviala à Godard : Ce qui nous émeut, c'est l'image réinventée au réveil en fin de rêve, plusieurs couches accumulées, la trace des images concoctées les yeux fermés
Gérard Depardieu : Chacun sa merde, c'est l'humilité avec ses souffrances. Et quand il voit son rêve se réaliser, oh panique, battement de coeur, tension !
Gérard Depardieu : Aujourd'hui, tout le monde rêve d'une vendeuse de Prisunic qui soit une star, point. Le reste, c'est autrement plus difficile. Comme dit Molière : Qu'il est long le chemin du projet à la chose
Martin Scorsese : Enfant, je dessinais des storyboards pour des films imaginaires mis en scène par des gens comme Hitchcock et Huston
Martin Scorsese : Film, rêve et réalité. Partir de la réalité banale, et mélanger les choses, les rendre confuses
Gilles Deleuze, CINEMA 1 : illusions vitales, illusions réalistes plus vraies que la vérité pure
Gérard Depardieu : Maurice Pialat est très fragile sur ce qu'il reçoit de ce qu'il a pensé, comme quand on rêve une chose et qu'on voit ce rêve se réaliser
Paul Valéry : Dans le rêve, le possible n'existe pas. Images qui n'ont point de bornes, qui ne peuvent exciter d'effets qui ferment le développement
Alain Bergala : Les scènes les plus troublantes de Hitchcock sont souvent celles où une tension sexuelle cachée pousse sous le scénario de surface, le déforme, où un motif ordinaire est surinvesti par un affect déplacé, comme dans le rêve
David Cronenberg : nos rêves subissent l'influence du cinéma. Les gens ne rêvent plus comme il y a un siècle. Ils utilisent des techniques cinématographiques, le montage...
David Lynch : J'aime les choses qui ont, en elles, le germe d'autres choses. Il faut qu'elles soient abstraites. Plus elles sont concrètes, moins ce germe a des chances d'exister
Rêves et cinéma
James Cameron : J'accomplis une bonne partie de mon travail créatif en rêvant
Eric Rohmer : Ce qui m’irrite, ce que je n’aime pas dans le cinéma moderne, c’est le fait de réduire les gens à leur comportement ; mes Contes Moraux ont certainement un côté onirique
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