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PSYCHOLOGIE
Godard : Il faut laisser les gens vivre leur vie, ne pas les regarder trop longtemps, sinon on finit par n'y plus rien comprendre
Peter Dinklage (Tyrion Lannister) : Si maltraité par le monde qui l'entoure, Tyrion aime la vie. Un grand sens de l'humour l'a aidé à survivre. Il accepte ce qu'il est et se moque de lui-même avant que vous le fassiez | Game of Thrones
Philippe Garrel / Jean-Claude Carrière : Etre scénariste, c'est savoir s'exprimer en dépassant sa propre honte. Les endroits les plus intéressants de sa propre vie ne sont pas ceux dont on est fier
Game of Thrones. Winter is coming, interminable imminence. Le ralentissement face à l'accélération technologique et le désir du retour à un apprentissage dans la difficulté
Coeurs purs | Roberto De Paolis : Pour envisager de rester ensemble, ils doivent apprendre à s’éloigner des convictions sur lesquelles ils se sont construits | Selene Caramazza, Simone Liberati
Tolkien assigne trois buts à la fantasy : le rétablissement, l'évasion, la consolation, trois choses dont les adultes ont plus besoin que les enfants. Pour que cela opère, il faut que le lecteur puisse faire preuve de créance secondaire
Dominique Blanc : Je le fais toujours avant d'entrer en scène : le scanner, la méditation de pleine conscience. On repasse en pensée toutes les parties du corps. Un quart d'heure, cinq minutes...
Vimala Pons : Grandir, les Anciens ils nous disent pas assez, que c'est bien. Le syndrome de la jeune fille, on a juste ce syndrome-là autour de nous, partout, placardé, alors que j'ai l'impression que de grandir, c'est génial
et passent dans la vie les yeux baissés | Flaubert / Robert Bresson | Les visages aux yeux baissés de Marika Green, Laetitia Carcano, Anne Wiazemsky, Florence Delay, Dominique Sanda
Jean-Claude Brisseau : Le problème est que si le plaisir est lié au sentiment de franchir une barrière, cette barrière recule sans arrêt. On s'ennuie donc très vite. Lacan dit que ce n'est pas le mal qui pose problème mais le bien
Jeanne Moreau : On veut toujours tout expliquer et l'incompréhension grandit entre les individus. Il y a une dichotomie absolue. Quoi qu'on en dise et quoi qu'on fasse, la personnalité d'un être humain est la chose la plus mystérieuse au monde
François Truffaut : C'est cela, la vraie phrase, la phrase définitive, c'est, je crois, celle de Sartre : "On est ce que l'on fait de soi à partir de ce que les autres ont fait de nous", voilà
Jeanne Moreau : Moi, j'aime bien le verbe "être habité", on n'emploie plus des expressions comme ça. Etre habité par une émotion, par une pensée
Rooney Mara, Song to Song : I never knew I had a soul. The word embarrassed me. I've always been afraid to be myself / Please let me be | Terrence Malick
Il nous faut "réapprendre l'émerveillement", écrivait Ionesco. Le parfait contraire de l'indifférence. "J'avais une méthode pour me tirer de la tristesse ou de la peur", confiait Ionesco
Ryan Gosling : Tu as déjà couché avec lui ? - Roland Barthes / Song to Song : Avec la première scène (dispute amoureuse), le langage commence sa longue carrière de chose agitée et inutile
Albertine disparue / Song to Song (Proust / Malick) : Divisée en petits dieux familiers, elle habita longtemps la flamme de la bougie, le bouton de la porte, le dossier d'une chaise... Chaque impression évoquait une impression identique mais blessée
Rooney Mara, Song to Song : Je sais que tu veux toujours savoir la vérité, mais pas moi. Parfois la vérité n'est pas la bonne chose à dire. Tu peux blesser quelqu'un en la disant | Terrence Malick
René Girard : Ce n'est plus l'image, ici, qui sacralise la perception, c'est la perception qui sacralise l'image. Mais Proust traite cette fausse image en image vraie et lui fait réfléchir le sacré d'emprunt qu'elle tient du médiateur
André Dussollier : C'est un sourire de défense, ou une volonté que tout soit apaisé, quoi. Moi je suis né en 46, juste après la guerre
Terrence Malick : la fille, sa meilleure historienne, vit une autre vie, si bien que son histoire coule à pic, sans laisser de traces
Jane Campion : Explorer plusieurs niveaux. Il suffit de le vouloir, comme David Lynch. C'est une chose courante en littérature et je ne vois pas pourquoi on ne le ferait pas au cinéma
Jean-Marie Piemme : Ecrivant pour l'actrice, le théâtre m'exprime parce qu'il me cache. Le théâtre a ceci de jouissif que le "je" qui parle s'y dit d'autant mieux qu'il s'avance sous les traits multiples et contradictoires des personnages qui s'affrontent
David Fincher : A l’inverse de la télévision, le cinéma a perdu de sa richesse. Quand vous allez au cinéma, vous allez au spectacle, et quand vous regardez une série, vous allez à la bibliothèque
Anne-Cécile Vandalem : On s'obstine à vouloir gagner, alors que dans la réalité, la plupart du temps, on perd. Pour moi, regarder la perte en face et la sublimer, c'est se redonner de la puissance
Maëlle Poésy : On pose toujours les mêmes questions aux femmes-metteurs en scène, si nous traduisons un point de vue féminin sur le monde. Mais on ne demande jamais aux metteurs en scène hommes s'ils imprègnent les leurs d'un regard masculin
John Cassavetes : Tous les acteurs de valeur sont lunatiques, impossibles à vivre. Il est bien qu'il en soit ainsi. Pour jouer vous voulez quelqu'un qui soit en colère. Ce qu'il faut, c'est une compréhension des problèmes humains
Christine Letailleur : Poser un regard de femme sur des territoires du désir, de la sexualité, de l'érotisme, voire de la pornographie, dérange, comme si ces domaines appartenaient aux hommes, qu'ils en avaient délimité les contours, leurs représentations
Louise Chevillotte, Esther Garrel | L'Amant d'un Jour | Philippe Garrel
Werner Herzog : Au cinéma, il y a plusieurs niveaux de vérité et le soi-disant cinéma-vérité représente la vérité la plus primaire et la plus ennuyeuse. Aguirre, ce qui m'intriguait, me fascinait, c'était cette fièvre qui possédait gens et paysages
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