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PROPOS DE SCENARISTES
Philippe Garrel / Jean-Claude Carrière : Etre scénariste, c'est savoir s'exprimer en dépassant sa propre honte. Les endroits les plus intéressants de sa propre vie ne sont pas ceux dont on est fier
Game of Thrones. "L'anti-série est devenue la série la plus regardée au monde. L'écriture seule, alors, semblait pouvoir déverrouiller un imaginaire affamé de grandeur"
Tonino Guerra : Pour la sortie d'un film, les questions posées par les journalistes sont des questions auxquelles peuvent répondre les scénaristes, sur le contenu du film, tout cela figure dans le scénario. Très rares sont les questions sur le style
Anne Wiazemsky | Robert Bresson, à Jean-Luc Godard : Il fallait trouver un mouvement, une montée dramatique. J’ai pensé à une fille. A la fille perdue. Ou plutôt : à la fille qui se perd
Wim Wenders : Paris, Texas. Peu à peu l'endroit même a introduit l'idée de ce décalage. C'était magique, on avait besoin d'un endroit et cet endroit nous donne une justification pour notre histoire
Jacques Doillon : Une des grandes réussites de Cassavetes, dans Une femme sous influence, c'était comment ça durait insupportablement entre sa femme, lui rentrant, les enfants. Quand on veut réduire la scène de ménage ça ne marche pas
Roman Polanski : Je ne veux pas que le spectateur pense ceci ou cela : je veux simplement qu’il ne soit sûr de rien. C’est cela le plus intéressant : l'incertitude
Eric Rohmer : J'ai toujours fait des films pour qu'ils prennent tout leur intérêt lorsqu'on y repense, pas seulement pour l'impression immédiate. Il faut que j'aie pu en rêver
Michelangelo Antonioni : Je ne lui ai pas demandé où elle habite. J'aime découvrir les choses petit à petit. Les choses que l'on vient à apprendre comme par hasard sont plus vraies que les autres | Techniquement douce, Un scénario non réalisé
Jean-Louis Comolli : le début d'un film, c'est une sorte de moment de grâce, où le spectateur est disponible à toute une série de coups de force, d'actes d'écriture apparemment arbitraires, dont il aura après la possibilité de comprendre la nécessité
Terrence Malick à l'American Film Institute : Aujourd'hui, je ne serais sans doute pas accepté, mais à l'époque ce n'était pas connu et ils prenaient presque n'importe qui. Pendant que j'étais à l'Institut, j'ai écrit et surtout réécrit des scripts
Jaoui / Bacri : la directrice du théâtre nous a dit : Elle nous plaît, mais faudrait prendre des vedettes. Ben on a dit non, on est allé dans un plus petit théâtre
Brit Marling, Zal Batmanglij : Collaboration on THE OA | SAG-AFTRA FOUNDATION | Video The Business: Creative Chemistry
Xavier DOLAN : La culture peut pas juste servir à assouvir ce groupe de personnes-là qui n'ont pas de curiosité, et qui n'ont pas de tolérance envers l'art, l'art de raconter une histoire, et qui veulent juste être divertis
Natalie PORTMAN, Director: When I write again something for myself or someone else, I won’t put in so much rain. Water, it’s really not comfortable. But unfortunately it is very cinematic | A Tale of Love and Darkness / Une histoire d'amour et de ténèbres
Terrence Malick, conseils de réalisation à Natalie Portman : You make films your way, don’t let anyone else tell you that you need a three-act structure. You just make movies as you experience life
Agnès JAOUI : Aucun monteur ne remplacera le talent musical et rythmique d'un bon acteur. J'hésite à filmer des plans de coupe car les monteurs aiment monter et je vais devoir me battre pour garder un plan-séquence
Brit Marling - le passage à l'écriture d'une actrice
Eric Rohmer : Quand je filme, j'essaie d'arracher le plus possible à la vie même. Je ne cesse de relire Balzac, Dostoïevski, Meredith ou Proust, auteurs prolixes, riches, touffus. Ils m'apportent la présence d'un monde vivant sa propre vie
Martin Scorsese : Mean Streets n'est pas une tranche de vie, cela ressemble plutôt à un opéra ; un opéra désinvolte, intense et violent, à la fois très fidèle à la réalité et très stylisé
Brit MARLING : Something I really learned from people we spent time with on the road is, they just do. They don’t wait for permission
Claude Sautet : quand j'ai proposé à Daniel Auteuil le personnage dans Quelques jours avec moi, il était très déçu : "il ne fait rien". Et il a découvert qu'il pouvait livrer une partie introvertie de lui-même
Roman POLANSKI : mes films ne sont pas "français" ! Ils ne sont pas des émissions de radio illustrées par des diapositives. Je suis toujours prêt à sacrifier un peu les dialogues
Agnès JAOUI : On a le goût des acteurs et de l'être humain qu'il y a derrière, et qui va davantage nous divertir qu'une poursuite de voitures. Il y a des gens de cinéma que ça effraie, tant de mots et tant de textes
Bacri / Jaoui : Plutôt que de tuer des gens dans la rue... Petite, je me suis sentie seule, différente, malheureuse. Heureusement que je suis tombée sur certains livres qui n'étaient pas ce flot de normes rassurantes. L'être est plus divers et plus riche
Jaoui / Bacri : Les acteurs sont les meilleurs lecteurs de scénario. Souvent les producteurs ou les gens qui ont la responsabilité de financer des films ne savent pas les lire. Comment le texte va prendre forme et corps
Roman Polanski : Tout d'abord, l'émotion : j'aime les choses émouvantes ; je crois qu'il y a encore une belle part de romantisme polonais en moi
Jean-Pierre BACRI : Le caractère choral de nos scénarios. Des convictions politiques font qu'on est atterrés par les films où il y a deux rôles principaux et une cinquantaine de figurants qui donnent la soupe aux deux jeunes premiers
Agnès Jaoui : J'aime la mélancolie à vrai dire. C'est mon amie depuis longtemps et j'ai fini par l'aimer
Pourquoi Jean-Pierre Bacri n'est pas devenu réalisateur, comme Agnès Jaoui
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