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Game of Thrones. Winter is coming, interminable imminence. Le ralentissement face à l'accélération technologique et le désir du retour à un apprentissage dans la difficulté
Game of Thrones. "L'anti-série est devenue la série la plus regardée au monde. L'écriture seule, alors, semblait pouvoir déverrouiller un imaginaire affamé de grandeur"
Gilles Deleuze, CINEMA I : On sait que les choses et les personnes sont toujours forcées de se cacher, quand elles commencent. Elles surgissent dans un ensemble qui ne les comportait pas encore
Andrew Sarris : C'est plus facile qu'avant de faire des films, mais le goût des masses est bloqué ; la seule rencontre qu'ils feront avec le film est votre texte. La critique devient le substitut du film
Godard : Je dois représenter encore la possibilité de dire : on peut encore faire le film qu'on veut en dehors des sentiers habituels. Ce qui est difficile, ce n'est pas de trouver de l'argent, c'est de faire le film qu'on doit faire, à sa manière
Maurice Pialat : En fait, les gens aiment ce qui est facile. Ma déception vient surtout de là. Je fais trop confiance au public et je place la barre trop haut. Et qu'on le veuille ou non, le cinéma a besoin de succès
David Fincher : A l’inverse de la télévision, le cinéma a perdu de sa richesse. Quand vous allez au cinéma, vous allez au spectacle, et quand vous regardez une série, vous allez à la bibliothèque
Christine Letailleur : Poser un regard de femme sur des territoires du désir, de la sexualité, de l'érotisme, voire de la pornographie, dérange, comme si ces domaines appartenaient aux hommes, qu'ils en avaient délimité les contours, leurs représentations
Netflix aux créateurs : Vous devez prendre plus de risques car nous serons plus durs dans le renouvellement ou non des séries (si elles ne sont pas le diamant que nous cherchons)
Jaoui / Bacri : la directrice du théâtre nous a dit : Elle nous plaît, mais faudrait prendre des vedettes. Ben on a dit non, on est allé dans un plus petit théâtre
Fabrice Luchini : Maintenant, l'hystérie arrive au moment où elle est payée. Je suis une femme du monde, moi, je tapine à mes horaires, comme disait Céline. Je vis aussi, reconnaissons-le, le miracle du surclassement
Netflix offre à un cinéaste un espace de liberté qu'il ne trouvera nulle part ailleurs. Aucun studio n'aurait produit ce film (OKJA), tellement il passe d'un genre à l'autre, il ne respecte aucun des codes | Thomas Sotinel, Le Monde
Michel Ciment, France Culture : Malick fait un film comme Rimbaud fait Les Illuminations, sauf que Rimbaud au cinéma ça paraît impossible. Il se permet de faire ce que beaucoup de grands cinéastes n'ont même pas osé faire (conscients du marché)
Quentin Tarantino : On dit à de jeunes réalisateurs : "On veut que vous soyez chez nous ce que Tarantino est à Miramax !" Certains répondent : "Commencez par être Harvey Weinstein !"
Jean-Luc Godard : Le public, personne ne sait ce qu'il est. Il est quelquefois surprenant, en général décevant. A bout de souffle, comme Les 400 coups, a été un malentendu. Cela a beaucoup trop plu, grâce à un concours de circonstances
Xavier DOLAN : La culture peut pas juste servir à assouvir ce groupe de personnes-là qui n'ont pas de curiosité, et qui n'ont pas de tolérance envers l'art, l'art de raconter une histoire, et qui veulent juste être divertis
Jean-Luc Godard : Le simple fait que j'arrive à faire des films qui ne marchent pas et à gagner ma vie avec, je trouve que c'est vraiment un signe d'optimisme énorme
Jean-Luc GODARD : Je me suis remis à jouer au tennis, parce qu'au tennis, quand on envoie la balle, le principe, c'est de vous la renvoyer. Alors que dans la vie, quand on envoie la balle, le principe, c'est de la garder
Roberto Rossellini : la vocation de l’homme est le temps libre, pas le travail | Avant tout, le spectateur veut absorber un produit qui lui soit familier. Tout ce qu’il peut accepter, ce sont de petites variations à l’intérieur de ce produit
Godard, Pialat, Rohmer, Truffaut : Vous pouvez le faire sans l'Avance sur Recettes | Il y a une part, probablement, de paresse, et puis aussi de contamination, l'idée que quand on est passé par un certain chemin, on ne peut plus revenir en arrière
Jaoui / Bacri : Les acteurs sont les meilleurs lecteurs de scénario. Souvent les producteurs ou les gens qui ont la responsabilité de financer des films ne savent pas les lire. Comment le texte va prendre forme et corps
Orson Welles : une fois de plus, la légende, "que je déteste terminer mes films car pour moi, c'est l'équivalent de la mort", m'a fait perdre l'occasion de tourner un film. Quant à moi, rétablir la vérité, c'est une nécessité, une question de survie
Orson Welles : tout d'un coup, je n'avais plus le droit de mettre les pieds sur le plateau ! Le film était trop noir, trop étrange pour eux. On m'a fichu à la porte. J'ai eu le coeur brisé de ne pas avoir pu continuer
Francis Veber : Il y a des sujets dangereux que j'élimine : il est dangereux de faire un film morose à une époque morose. ça me limite sans doute
Bertrand Blier : On est à l'ère du cinéma d'auteur et on fait les deux (scénario et mise en scène), mais on se plante une fois sur deux. Je serais plus efficace en travaillant pour quelqu'un d'autre, mais on ne me le demande pas
René Cleitman, producteur-distributeur : il faut surprendre sur des bases connues : on ne va pas au cinéma pour être dérouté mais pour rêver. Equilibre entre surprises et points de repère
Pierre Richard / Brit Marling, écriture de scénario, le rôle du bon garde-fou : La question, c'est, au bout de huit mois de se dire : "Il faut que je refasse", et non pas : "ça fait huit mois, il a l'air bien, tout le monde en veut"
Jean-Luc Godard, faire des films autrement que les autres : "et finalement tu te perds toi même car tu ne sais plus du tout où tu es, contre qui tu es... tu en veux à tout le monde et à personne..."
Critères de sélection des films dans les Festivals (Los Angeles Film Festival, Sundance Film Festival, South by Southwest Film Festival) | VIDEO SAG-AFTRA FOUNDATION: Submitting to Film Festivals
Céline Sallette, hommage à Patrick Grandperret : Très peu de gens laissent rentrer dans le cinéma, très peu de gens ouvrent la porte et disent : vous avez rien fait, tiens, on vous donne un rôle
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