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Films Actors Directors | Films7.com
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PERSONNALITE
Patty Jenkins, Cameron, Wonder Woman : Women can and should be EVERYTHING. If women always have to be hard, tough, troubled to be strong, and we aren’t free to be multidimensional, celebrate an icon, attractive and loving, then we haven’t come very far
Jeanne Moreau : "Mon agent m'a dit : "si vous tournez avec ce type (Louis Malle), on arrête de travailler ensemble". J'ai choisi le danger."
Rooney Mara, Song to Song : I never knew I had a soul. The word embarrassed me. I've always been afraid to be myself / Please let me be | Terrence Malick
Jane Campion : Explorer plusieurs niveaux. Il suffit de le vouloir, comme David Lynch. C'est une chose courante en littérature et je ne vois pas pourquoi on ne le ferait pas au cinéma
Jean-Marie Piemme : Ecrivant pour l'actrice, le théâtre m'exprime parce qu'il me cache. Le théâtre a ceci de jouissif que le "je" qui parle s'y dit d'autant mieux qu'il s'avance sous les traits multiples et contradictoires des personnages qui s'affrontent
Anne-Cécile Vandalem : On s'obstine à vouloir gagner, alors que dans la réalité, la plupart du temps, on perd. Pour moi, regarder la perte en face et la sublimer, c'est se redonner de la puissance
Maëlle Poésy : On pose toujours les mêmes questions aux femmes-metteurs en scène, si nous traduisons un point de vue féminin sur le monde. Mais on ne demande jamais aux metteurs en scène hommes s'ils imprègnent les leurs d'un regard masculin
John Cassavetes : Tous les acteurs de valeur sont lunatiques, impossibles à vivre. Il est bien qu'il en soit ainsi. Pour jouer vous voulez quelqu'un qui soit en colère. Ce qu'il faut, c'est une compréhension des problèmes humains
Proust / Bresson / Dostoïevski : les cent masques qu'il convient d'attacher à un même visage ; faire varier aussi la lumière du ciel moral selon les différences de pression de notre sensibilité ; des courants et des contre-courants
Stéphane Braunschweig | Faux coupable et responsabilité chez Hitchcock, Kafka, Kleist, Nietzsche, Dostoïesvki, Proust | Fantasme d'irresponsabilité chez Kleist - Quelque chose qui serait le mal pour toute l'éternité ?
Stanislavski : La palette des acteurs-débutants est pauvre en couleurs. Ils peinent sur leur rôle dans un ton monocorde, sans ombres, reflets, demi-tons, éclaircies, transitions. Si un peintre procédait de la sorte, au lieu de son tableau...
Roland Barthes : L'utopie est tout de même justifiée, dans un but concret, réel, social, dans la mesure où elle permet d'explorer le désir humain. L'utopie ne fournit pas de solutions réelles, mais elle permet d'explorer le désir humain
Nietzsche : L'homme - inconnu ; l'action - inconnue. Si l'on parle cependant des hommes et des actions, comme s'ils étaient connus, c'est que l'on s'est mis d'accord sur un certain nombre de rôles que le premier venu, ou presque, peut jouer
Nietzsche : On est plus riche qu'on ne le pense, on porte en soi l'étoffe de plusieurs personnages, on prend pour "caractère" ce qui n'appartient qu'au "personnage", à l'UN de nos personnages. La plupart de nos actions ne viennent pas du tréfonds de nous
Rencontre Oliveira / Godard : L'art est plus élevé, plus intéressant que l'artiste / Les médias ont développé la notion de personnalité plutôt que la notion de personne. Dans l'oeuvre il y a la personne, dans la personne il y a l'oeuvre
La peur de se laisser emporter en utilisant quelque chose de très personnel | Lee Strasberg / Kazan / Braunschweig / Malick / Proust. Si quelqu'un essaie toujours de satisfaire son prochain, comment peut-il faire autrement que d'une façon conventionnelle?
Luchini : Jouvet, Bouquet, ces deux maîtres qui chérissent la dépersonnalisation sont des acteurs à la personnalité écrasante... Sans doute n'est-il pas possible d'énoncer une théorie du jeu de l'acteur : il n'y a que des pratiques d'acteurs singulières
Lee STRASBERG : des gens vous trouvent un très grand talent, mais ne vous donnent pas de rôles. Pourquoi ? Il y a une raison...