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MODERNITE
Jerzy Klesyk / Anatoli Vassiliev : Si l'on dit ce que l'on sait déjà nous sommes déjà dans le cliché. C'est l'énigme qui personnellement me maintient en éveil
Claire Lasne Darcueil (CNSAD) : Par de telles impostures on trouve l'énergie de redécouvrir les textes, les personnes, le monde ; dans l'appétit de transformer tout, puisqu'on ne sait rien du tout
L'artiste septuagénaire
Gilles Deleuze, CINEMA I : On sait que les choses et les personnes sont toujours forcées de se cacher, quand elles commencent. Elles surgissent dans un ensemble qui ne les comportait pas encore
Combien de fois pour aimer ? Ce qui est nouveau est toujours par défaut moins bien apprécié au départ. Une chanson obtient les meilleures appréciations au bout d’environ huit semaines de rotation, une douzaine d’écoutes pour un auditeur moyen
Olivier Assayas : A l'écart des tristes excès du cinéma subventionné post-post-auteuriste, le film publicitaire a profité le premier d'une conviction porteuse dans le renouveau de la recherche en matière visuelle. Mais...
Andrew Sarris : A chaque décade on entend le même refrain : c'est la fin du cinéma. Mais le cinéma continue. Simplement, nous ne percevons pas ses nouvelles formes
Antoine Compagnon : Proust s'interroge sur cette propriété du génie : "La vraie variété est dans cette plénitude d'éléments réels et inattendus, dans le rameau chargé de fleurs bleues qui s'élance contre toute attente"
Sight&Sound : SIGNS AND WONDERS / the late works of Terrence Malick | 'Knight of Cups' improves on repeated viewings, which allow for a better acquaintance with the emotional dilemmas of its characters
Francine Landrain : on est allé au bout dans la déconstruction, plus loin que ça, on va tous mourir. Il faut retourner joyeusement et naïvement au spectacle, à la narration, au personnage : THE SHOW MUST GO ON
Jacques DELCUVELLERIE, le Groupov : Je leur propose cet accouchement impossible de l'in-ouï, la phrase de Joyce que je cite toujours : Je veux serrer dans mes bras la beauté qui n'a pas encore paru au monde
Alan Schneider, à propos des critiques : A mesure que l'on monte les nouvelles pièces, les anciennes s'améliorent (à leurs yeux) tandis que la pièce en cours est détestable
Marcel Proust : en entendant l'actrice, chacun attendait que d'autres prissent l'initiative de rire ou de critiquer... On se figure que c'est grotesque, mais, après tout, c'est peut-être magnifique et on attend d'être fixé
Stanislas Nordey : J'ai été inquiété par des formes... Vincent Macaigne... Je me suis dit : "Tu vieillis, mon gars." Ils sont en train de chercher des choses très crues. ça m'a obligé à me réinterroger sur mon rapport à la représentation
Le postmodernisme est vieux. On est au-delà du postmodernisme | Kevin Kuhlke, directeur de l'Experimental Theatre Wing of the Tisch School of the Arts - New York University
Les manifestations les plus intéressantes de la vie ont sans doute toujours ce double visage de passé et d'avenir, progressives et régressives à la fois. Elles décèlent l'ambiguïté de la vie même (Thomas Mann, Le docteur Faustus)
Martin Scorsese : dans mes films, j'ai toujours voulu combiner Welles et Cassavetes. On est au-delà de la modernité quand on voit Othello aujourd'hui. On commence juste à penser le montage et le découpage comme lui les a pensés à l'époque
Artistes et Modernité, maîtres du présent et maîtres du passé | Proust, Sur la lecture : La préférence des grands écrivains va aux livres des anciens. Ceux mêmes qui parurent à leurs contemporains le plus romantiques ne lisaient guère que les classiques
Pierre Boulez : une certaine fatigue par rapport à la radicalité des recherches donne un art de la conserve, de ramasse-miettes, de décharge publique