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LE SEXE AU CINEMA
Les Garçons sauvages / Vimala Pons, Mathilde Warnier, Diane Rouxel, Anaël Snoek, Pauline Lorillard | Bertrand Mandico
Jean-Claude Brisseau : Le problème est que si le plaisir est lié au sentiment de franchir une barrière, cette barrière recule sans arrêt. On s'ennuie donc très vite. Lacan dit que ce n'est pas le mal qui pose problème mais le bien
Louise Chevillotte : Nymphomanie ? Incarner un personnage d'une femme qui a du plaisir, qui accepte son désir, c'est une fierté. C'est tabou, c'est important de le mettre en lumière
Chez Rohmer, le théâtre du quotidien est bordé par des gouffres qui ont pour nom le sexe, la mort ou Dieu. Ouvrir la porte serait prendre le risque de se confronter au réel, au néant. Face à cette hésitation tragique, ils préfèrent faire marche arrière
The Vagina in Art and Cinema | VIDEO
Ryan Gosling : Tu as déjà couché avec lui ? - Roland Barthes / Song to Song : Avec la première scène (dispute amoureuse), le langage commence sa longue carrière de chose agitée et inutile
René Girard : Ce n'est plus l'image, ici, qui sacralise la perception, c'est la perception qui sacralise l'image. Mais Proust traite cette fausse image en image vraie et lui fait réfléchir le sacré d'emprunt qu'elle tient du médiateur
Pierre Berthomieu, POSITIF : Song to Song. Aucun film de Malick ne donnait à ce point un vertige troublant du réel saisi dans une perspective physique. Inlassable, la caméra révère les courbes des hanches, le bas-ventre féminin, comme le Song of Songs
Christine Letailleur : Poser un regard de femme sur des territoires du désir, de la sexualité, de l'érotisme, voire de la pornographie, dérange, comme si ces domaines appartenaient aux hommes, qu'ils en avaient délimité les contours, leurs représentations
Twin Peaks présente un regard avant tout masculin sur la femme et offre un véritable catalogue de fantasmes d'hommes hétérosexuels : les jeunes filles évoluent entre l'écolière sage et la prostituée cachée
Il faudrait plus d'apprentissage sur les émotions au lycée | Netflix / 13 Reasons Why | Hannah est une personne imparfaite. Elle repousse les gens, des gens qui l'auraient soutenue
Netflix / 13 Reasons Why | Le slut-shaming, ce que vit Hannah, d'un côté... le besoin d'être jugée séduisante, populaire, jolie, parfaite sur Instagram. Mais si ça va juste un peu trop loin, vous êtes une salope, on ne vous aime plus
Roxane Mesquida | Malgré la nuit | Philippe Grandrieux | Qu'est-ce que tu veux que je fasse de ton âme ?
Stanislas Nordey : J'ai été inquiété par des formes... Vincent Macaigne... Je me suis dit : "Tu vieillis, mon gars." Ils sont en train de chercher des choses très crues. ça m'a obligé à me réinterroger sur mon rapport à la représentation
Ariane Labed : quelque chose de l'ordre de la maladresse et de la perte, que Yorgos Lanthimos cherche chez l'acteur
Deleuze : Chez Bunuel, la découverte de pulsions propres à l'âme, aussi fortes que la faim ou la sexualité, et se composant avec elles... Une question du salut, même si Bunuel doute fort de chacun des moyens de ce salut, révolution, amour, foi
Rooney Mara : Una | Benedict Andrews | 'Una' gazes into the heart of a devastating form of love and asks if redemption is possible
Jacques Rancière : Ces femmes parachutées dans des films pour dire qu'elles n'en ont "rien à foutre" de tout ça (les problèmes des hommes)... Elles n'ont aucune place dans la structure de l'action fondée sur le couple masculin
Bella Heathcote, Abbey Lee, Jena Malone, les belles louves dévoreuses de THE NEON DEMON | Nicolas Winding Refn
Pink Pussy? (Rose minou ?) | Jena Malone et Bella Heathcote | Lipstick Color / Couleur du rouge à lèvres | THE NEON DEMON | Nicolas Winding Refn, 2016
Crash / Cronenberg / Ballard : La passion sexuelle, chez beaucoup de gens, se développe à un niveau intellectuel plutôt que physique. Tout a lieu dans la tête. Crash oublie toute la machinerie démodée des conventions dramatiques qui limite tant le medium
Crash de Cronenberg / J. G. Ballard : Je crois en cette liberté fondamentale qu'est le jeu avec notre psychopathologie. Dans le domaine de la poésie et de la fiction, nous pouvons explorer les domaines qui, en tant que citoyens, nous restent interdits
Jean-Claude Brisseau, Le spectacle du mal : On fait un film pour comprendre pourquoi quelqu'un peut tuer quelqu'un d'autre, sinon, ce n'est pas la peine
Lorsque Sharon Stone pleure sur son lit, c'est la culpabilité de Scorsese qui revient : ses années d'analyse, ses nuits de masturbation, ses pulsions suicidaires et sa maladie faite film
Martin Scorsese au bout de la nuit blanche : Penser au sexe et m'en sentir coupable. Devenir une unité de plus en plus ramassée sur soi-même, en étant seul très souvent
David Cronenberg : Mais pourquoi pas ? Qui dit cela ? D'où vient une telle règle ?
François TRUFFAUT : CINEPSYCHOPATHIA SEXUALIS | L'Amour au cinéma - Tableau des anomalies sexuelles à l’écran
Alain Bergala : Les scènes les plus troublantes de Hitchcock sont souvent celles où une tension sexuelle cachée pousse sous le scénario de surface, le déforme, où un motif ordinaire est surinvesti par un affect déplacé, comme dans le rêve