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IMAGE DE LA FEMME
Marcel Proust, le cadre de la femme la rattache non à la réalité mais à l'imaginaire. L'héroïne enferme dans son visage un peu du décor
Orlan : Je crois qu'il y a autant de contraintes exercées sur le corps des femmes qu'il y en a sur le corps même des oeuvres d'art | Orlan et la désacralisation du corps - Josette Féral
Michelangelo Antonioni : le personnage-femme, filtre bien plus subtil de la réalité, plus inquiet et plus capable que l'homme de sacrifices et d'amour
Martin Scorsese : Ida Lupino s'efforça de remettre en question l'image passive, décorative de la femme dans les productions hollywoodiennes
Jessica Lange : Frances Farmer s'est révoltée contre la qualité du travail qu'on lui faisait faire à Hollywood. Un difficile saut dans le réel !
Nathalie Baye : Il n'y a pas de très bons rôles de femme. Ils sont répétitifs. Beaucoup de comédiennes le disent et c'est vrai. J'ai toujours une certaine pudeur à demander à quelqu'un d'écrire pour moi
Samuel Fuller : c'est le monde qui fait ce que vous êtes. Ce n'est pas vous qui faites ce monde. Le cerveau a son point de non-retour
Alain Bergala : Les scènes les plus troublantes de Hitchcock sont souvent celles où une tension sexuelle cachée pousse sous le scénario de surface, le déforme, où un motif ordinaire est surinvesti par un affect déplacé, comme dans le rêve
Sicario (Denis Villeneuve) aurait pu obtenir plus d’argent si le scénariste avait accepté de changer le personnage qu’incarne Emily Blunt en homme. Refus tout net
La couleur d'Eva Green | BRUNE BLONDE La chevelure féminine dans l'art et le cinéma
Jean-Luc Godard : Les femmes, les actrices, je ne les ai pas très bien traitées. J'ai respecté leur beauté aléatoire, mais je n'ai pas fait très attention à ce qu'elles pouvaient dire ou faire | Jean Seberg, copiée / citée de Preminger
Patti Smith : art, livres, opéra, cinéma, Godard, Bresson, et Rock and Roll... : J’ai choisi résolument d’être libre et de n’être dépendante de rien. Sauf de l’art peut-être. Ou de l’amour
Jean-Michel Frodon : si Robert Bresson filme Marika Green comme la Renaissance italienne a peint les saintes, il donne l'impression d'avoir surtout éprouvé violemment la beauté des femmes chez Botticelli, Giorgione ou Carpaccio
Truffaut : l'essentiel, le mouvement de la vie continue, c'est la femme. L'activité des hommes me paraît toujours puérile
Angélica Liddell : On t'impose de te sentir femme. Ce sont les autres qui se chargent de te définir, qui t'informent du fait que tu es une femme
Conversation avec Rooney Mara (Carol) : la raison du Prix à Cannes, la question des femmes à Hollywood, une scène sexuelle de Carol coupée au montage
Emily Blunt : Ecris-moi un rôle comme tu l'écrirais pour un homme, sans te poser la question de ma féminité
Stanislas Nordey : personnages féminins, l'éternelle triade de la mère, la putain et la vierge
Stanislas Nordey : Une actrice comme Anne Tismer ne dit que ça : Je ne veux plus jouer de rôles de femmes. Vraie belle question posée à l'auteur et au metteur en scène
Vincent Macaigne (2011) : Les femmes font comme les hommes, elles ont la même hargne, elles sont aussi fortes. Pour moi il n'y a pas de différence. Je mets les corps dans le même état
Cecil B. DeMille : une femme trop belle ne sera jamais une star. Un homme qui réalise un film n'achète pas une peinture ou une belle photographie. Il demande surtout et avant tout un jeu vivant créateur d'illusion
Nicole Vedrès : le courrier des « fans » à telle vedette féminine, en rapport direct avec le budget de publicité consacré à cette vedette
Emmanuelle Béart : Le théâtre est salvateur, parce qu'il n'y a pas ce problème de physique. Ce qui importe c'est une aura, ce que j'aime tant chez les êtres humains : la lumière
Fellini : cette manière fascinée et erronée de voir la femme. Je suis comme quelqu'un qui n'est pas parvenu à un détachement conscient et objectif, et qui ne veut pas y parvenir
La femme symboliste dans l'oeuvre d'Alfred Hitchcock | Hitchcock et l'art, Coïncidences fatales
Gena Rowlands - La souffrance visible sur son visage n'est pas à chercher dans un quelconque temps fort de la fiction, elle est fréquentative, non narrative, quotidienne