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DIRECTEUR DE LA PHOTOGRAPHIE
Michelangelo Antonioni | Zabriskie Point | Un plan n'est pas un tableau
Antonioni : Un plan n'est pas un tableau. A partir de Zabriskie j'ai évité une certaine beauté formelle ; j'ai besoin d'être plus près de la matière, je ne veux pas que la beauté extérieure dérange l'histoire que je veux raconter
Abd al Malik : Pour moi, il y a Kubrick d'un côté et Terrence Malick de l'autre. Terrence Malick va magnifier la lumière même dans les moments difficiles. Alors que Kubrick, même dans les moments détendus, va magnifier l'obscurité
Bernard Zitzermann, directeur de la photographie : Le Mépris c'était Matisse au cinéma. Coutard avec Godard ont inventé quelque chose qui n'a, hélas, pas fait école. J'aime les tons chauds que je préfère à la vogue actuelle du bleu HMI
Louise Chevillotte, Esther Garrel | L'Amant d'un Jour | Philippe Garrel
Michel Ciment, France Culture : Malick fait un film comme Rimbaud fait Les Illuminations, sauf que Rimbaud au cinéma ça paraît impossible. Il se permet de faire ce que beaucoup de grands cinéastes n'ont même pas osé faire (conscients du marché)
Marcel Proust, Amos Oz, et Natalie Portman réalisatrice, du Côté de Guermantes à Jérusalem : "il n'y avait pour moi qu'elle au monde qui se promenât" | A Tale of Love and Darkness (Une histoire d'amour et de ténèbres)
Tribute to Emmanuel Lubezki / Cinematography | VIDEO
Jeff Nichols : Avant de me mettre au travail, je reviens toujours à "No Country for Old Men" des Coen. Les mouvements de caméra sont incroyables
The Best Cinematography of 2016 | VIDEO
Textures. Taxi Driver / Carol (Scorsese / Haynes) | NEW YORK
Eric Rohmer : Ce que j'aime montrer, c'est le visage et les mains en même temps. J'aime les décors hauts, j'ai toujours aimé les montagnes. Je n'aime pas du tout le format appelé panoramique
Alain Bergala : Coutard n'avait pas le droit à l'erreur, il n'y aurait qu'une prise, mais Raoul s'attendait à tout de la part de Jean-Luc, il avait l'instinct. Il ne loupe pas un truc comme ça. Il n'a pas été reporter de guerre pour rien
Raoul Coutard, chef opérateur : la peinture, j'en tiens compte, mais ce n’est pas une image de cinéma, parce qu’on ne pourrait pas la regarder aussi longtemps, parce qu’une autre image arriverait à la place
Caroline Champetier : C'est quoi, la lumière ?
Beauviala à Godard : Ce qui nous émeut, c'est l'image réinventée au réveil en fin de rêve, plusieurs couches accumulées, la trace des images concoctées les yeux fermés
Eric Rohmer : nos opérateurs manquent d'audace, et les écoles de cinéma ne sont pas faites pour leur en donner | Francis Ford Coppola : les acteurs et les techniciens sont comme les spectateurs : ils résistent très fort face aux innovations
Jean-Luc Godard à Robert Bresson : il faut violer la photographie (la cinématographie), la pousser dans ses...
Yves Lafaye, chef opérateur, ce qu'il attend d'un metteur en scène : D'abord la même chose que ce que peut en attendre un comédien : être dirigé
Orson Welles : Je croyais que le metteur en scène devait tout faire. Gregg Toland ne disait rien et, discrètement, arrangeait un peu les choses derrière mon dos
Trucage, subjectivisme et irréalisme chez Chabrol, Dreyer, Ophuls, Haynes : le metteur en scène doit s'inspirer de la réalité, puis s'en détacher afin de couler son oeuvre dans le moule de son inspiration