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CONSTRUCTION DRAMATIQUE
Game of Thrones. Winter is coming, interminable imminence. Le ralentissement face à l'accélération technologique et le désir du retour à un apprentissage dans la difficulté
Game of Thrones. "L'anti-série est devenue la série la plus regardée au monde. L'écriture seule, alors, semblait pouvoir déverrouiller un imaginaire affamé de grandeur"
Anne Wiazemsky | Robert Bresson, à Jean-Luc Godard : Il fallait trouver un mouvement, une montée dramatique. J’ai pensé à une fille. A la fille perdue. Ou plutôt : à la fille qui se perd
Proust aima Wagner pour la haute fréquence des leitmotive, réminiscences musicales qui construisent un paysage familier
Jacques Doillon : Une des grandes réussites de Cassavetes, dans Une femme sous influence, c'était comment ça durait insupportablement entre sa femme, lui rentrant, les enfants. Quand on veut réduire la scène de ménage ça ne marche pas
Deleuze : Affinité de Kurosawa avec Dostoïevski : l'urgence d'une situation, si grande soit-elle, est délibérément négligée par le héros, qui veut d'abord chercher quelle est la question plus pressante encore
The Stillness Of Twin Peaks / David Lynch (VIDEO)
Eric Rohmer : J'ai toujours fait des films pour qu'ils prennent tout leur intérêt lorsqu'on y repense, pas seulement pour l'impression immédiate. Il faut que j'aie pu en rêver
Jean-Louis Comolli : le début d'un film, c'est une sorte de moment de grâce, où le spectateur est disponible à toute une série de coups de force, d'actes d'écriture apparemment arbitraires, dont il aura après la possibilité de comprendre la nécessité
Tarkovski : Pour le montage, mon principe est le suivant : le film est comme un fleuve : le montage doit être infiniment spontané, comme la nature même
Proust / Bresson / Dostoïevski : les cent masques qu'il convient d'attacher à un même visage ; faire varier aussi la lumière du ciel moral selon les différences de pression de notre sensibilité ; des courants et des contre-courants
Robert Bresson : l'imagination de nos yeux est moins vaste, moins variée, moins profonde que l'imagination de nos oreilles ; j'apprivoise plutôt l'image au son que le son à l'image
Eugenio Barba : Tell me a story... the rest is silence
Brit Marling, Zal Batmanglij : Collaboration on THE OA | SAG-AFTRA FOUNDATION | Video The Business: Creative Chemistry
Vincent Colonna : Proust, art des séries télé, cycles romanesques : "mystérieuses lois de la chair et du sentiment", introduction du temps dans la vie des personnages, d'une sédimentation, comme "un terrain où les laves d'époques différentes sont mêlées"
Robert Altman : Si j'avais mis un son clair comme le cristal, comme ils l'ont fait dans la version française, alors allez voir le film et dites-moi s'il a conservé la moindre magie. Amputer un film d'un de ses éléments, c'est en détruire l'organisation
Roland Barthes / Malick : Ce qui m'intéresse dans l'écriture, le débordement de ce qu'on a écrit par les effets produits par cela même qu'on a écrit. Quand on écrit de façon elliptique, ce qu'on écrit va avoir des effets que vous ne pouvez pas prévoir
Eric Rohmer : Quand je filme, j'essaie d'arracher le plus possible à la vie même. Je ne cesse de relire Balzac, Dostoïevski, Meredith ou Proust, auteurs prolixes, riches, touffus. Ils m'apportent la présence d'un monde vivant sa propre vie
Jean-Pierre Bacri : On sent que l'auteur s'est dit "je vais rajouter 1h20 à mon idée". Et c'est ça, se tuer
Claude Sautet : Pour César et Rosalie, j'avais écrit une fin tragique, puis j'ai vu Jules et Jim et j'ai dû trouver une fin ouverte en pirouette // Sasha Grey et la fin tragique de Jules et Jim de Truffaut
Bertrand Blier : le cinéma, contrairement à ce qu'on dit, n'est pas assez littéraire, il n'explore pas assez le champ de l'écriture
Bertrand Blier, scénario : ce qui m'intéresse : que ça dérape. Mais en France, les gens sont déroutés par le fantastique. Préparez vos mouchoirs a été écrit par le milieu : c'est parti d'une scène sur Mozart. Et j'ai reconstruit en avant et en arrière
René Cleitman, producteur-distributeur : il faut surprendre sur des bases connues : on ne va pas au cinéma pour être dérouté mais pour rêver. Equilibre entre surprises et points de repère
Ariane Labed : J’aimerais bien qu’on puisse se reposer des questions sur les structures narratives du cinéma
To The Wonder (A la merveille) | Terrence Malick | Critiques et Analyses | Making of
The Unloved - Knight of Cups (VIDEO) | the still warm body of Terrence Malick's misunderstood Knight of Cups
Does Knight Of Cups stack up to Terrence Malick’s best? (VIDEO)
An Analysis: To the Wonder | Terrence Malick (VIDEO) | I think his work right now is at it's most fascinating. He's moved so far away from how one is supposed to make a film...
Les pages de plus haute complexité jamais écrites en musique : comment une idée musicale, apparemment épuisée, se relance d'elle-même par l'émergence inattendue d'une de ses facettes subitement révélée...
Isabelle Huppert et Maurice Pialat : Ses films mettent en place une chronologie des affects, pas des faits, c'est ce qui leur donne une telle épaisseur des sentiments
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