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ART DU CINEMA
Does Knight Of Cups stack up to Terrence Malick’s best? (VIDEO)
Fellini : Je ne fais pas de politique ; mais alors oui, tous mes films sont politiques, essaient de démasquer les préjugés, la rhétorique, les formes aberrantes d'un certain type d'éducation et de société qu'elle a produit
Keira Knightley In Conversation: acting, choosing roles and working with directors | BAFTA New York 2014 (VIDEO)
Danièle Dubroux : Ce genre de vérité ne peut se dire que dans la fiction
Martin Scorsese : Le film de contrebande. ça ressemble à un truc normal, ça en a tous les éléments, mais enfouis dans ce qui ressemble à un thriller il existe des idées, des mystères qu'on transmet et que le spectateur peut capter s'il en a envie
Takeshi Kitano : Qu'est-ce qui reste à faire ? Continuer à produire des films que je souhaite voir. Aussi longtemps que je filmerai ce que je veux voir, ce cinéma-là continuera d'exister
François Truffaut : Mais moi je ne sais pas vivre comme vous. Dites-moi comment il faut faire
An Analysis: To the Wonder | Terrence Malick (VIDEO) | I think his work right now is at it's most fascinating. He's moved so far away from how one is supposed to make a film...
Olga Kurylenko : tourner avec Terrence Malick (To the Wonder | A la merveille) : sur son tournage j'ai appris que c'était ça que j'aimais. Cette façon de jouer et de filmer
Terrence Malick : Parsifal
Ce n'est pas son expérience, il insiste au contraire sur son inexpérience, qui amène les êtres à se révéler ; c'est une sorte de réaction d'ordre physique ou chimique, provoquée par sa seule présence
De l'autre côté, chez Christopher Nolan : Inception / Interstellar : STAY! RESTE !
Ces figures d'hommes aux pieds des femmes, chez Terrence Malick
Antonioni, L'adieu aux femmes. Il souffre d'avoir à se séparer du regard subjectif, irrationnel, obscur et féérique, sarcastique et hyperbolique de l'expressionnisme
François Truffaut : Je mets le cinéma vraiment en concurrence avec la vie, on m'a beaucoup reproché de préférer le cinéma à la vie réelle, j'ai du mal à changer
Jean-Luc Godard : Ce n'est pas grave de dire "oui" quand un autre dit "non". Mais quand le malentendu est déclenché, alors c'est grave. A la fin, c'est une catastrophe. C'est l'histoire du Mépris
Jean-Luc Godard : Chercher. Intellectuel, c'est très beau, c'est laudateur, ça a pris un sens péjoratif. C'est dommage
Jean-Luc Godard : Le Mépris est l'histoire des hommes qui se sont coupés d'eux-mêmes, du monde, de la réalité. Ils essaient maladroitement de retrouver la lumière, alors qu'ils sont enfermés dans une pièce noire
Jean-Luc Godard : J'aurais aimé faire Le Mépris avec Kim Novak aussi, en lui gardant le côté complètement passif de Vertigo. Son mystère, c'est sa mollesse
Truffaut : Hitchcock a projeté sur l'écran toutes ses émotions, qu'il ne vivrait jamais, qu'il ne connaitrait jamais | Hitchcock et ses actrices | Tippi Hedren
Quand le premier échec amoureux conditionne le second (L'Eclipse, Antonioni). Le rapport ayant échoué sur le plan de la compréhension, Vittoria instaure un autre rapport dans lequel la compréhension n'a aucune valeur
Robert Bresson : Dostoïevski. Parce qu'il traite de sentiments et que je crois aux sentiments. Parce que tout chez lui, sans exception, est juste
New York au cinéma
La femme chez Antonioni échappera toujours de quelque côté à ses manoeuvres de cadrage
Fellini : La critique. Comme si vous disiez d'une femme, elle est belle, mais a les épaules trop larges ! C'est justement ça, sa caractéristique. Une chose est belle par son caractère et non parce qu'elle réalise un idéal esthétique général
Buster Keaton : je n'admets pas que l'on me fasse doubler. Ma voix est mienne, comme mon visage, et je n'ai que faire qu'un autre parle pour moi, à l'écran, un langage que j'ignore
Deleuze : Nudité du visage plus grande que celle des corps | Ariane Labed : je me sens aussi nue quand la caméra est juste sur mon visage, que quand je suis à poil
Christine Boisson : il faut taper toujours à la même porte pour qu'elle finisse par céder
Antonioni ne juge pas, ne dénonce pas, parce qu'il a un sens aigu du mystère, ce mystère qui, Buñuel nous l'a appris, est l'âme de toute oeuvre d'art | Il y a déjà trop d'accusateurs publics
Isabelle Huppert et Maurice Pialat : Ses films mettent en place une chronologie des affects, pas des faits, c'est ce qui leur donne une telle épaisseur des sentiments
Xavier Durringer, sur les essais caméra : dans les 15 premières secondes, il faut faire quelque chose
Yaara Pelzig | Le policier | Nadav Lapid : Performance de l'actrice ; destinée, absence et remplacement du héros ; le film en lui-même ; rendre à l'art toute sa place. Le coupable, on le découvre quand on s'observe dans le miroir
Composition du plan des scènes de repas chez Terrence Malick | Proust : ce sont les fragments d'un même monde. Les grands n'ont jamais que réfracté à travers des milieux divers une même beauté qu'ils apportent au monde
Robert Bresson : C'est le film qui, en naissant, donne vie aux personnages, et non les personnages qui donnent vie au film
Robert Bresson : mes protagonistes sont des êtres de qui je m'approche comme de trésors très précieux, je me moule à eux
Robert Bresson : au fond, on ne fait plus de films qu'avec sept acteurs pour le monde entier. Mais le public en a assez, j'en suis sûr
Robert Bresson à Jean-Luc Godard : Je suis peintre. J'écris comme je peins, comme je mets la couleur
Vidéo : Le cinéma selon Bresson : Pickpocket | Marika Green, jeune danseuse de l'opéra de Paris, modèle / actrice de Pickpocket
Robert Bresson : Il y a dans le jeu d'un non-professionnel des expressions mystérieuses, inattendues
LE CLÉZIO : Au coeur de l'oeuvre de Bresson, il y a le procès. Ce moment crucial où l'homme devenu solitaire s'oppose à la société
Jean-Luc Godard sous l'influence de Robert Bresson pour arriver à Dreyer. Histoire d'une citation de Vivre sa vie
Godard à Bresson : si je prends des acteurs, c'est une question de morale. Parce que je trouve que le cinéma pourrit les gens, ceux qui ne sont pas préparés
Robert Bresson : D'abord agir | Notes sur le cinématographe | Oh Jeanne, pour aller jusqu'à toi, quel drôle de chemin il m'a fallu prendre
Robert Bresson : Plastiquement, il faut sculpter l'idée dans un visage par la lumière et l'ombre
Robert Bresson : Scorsese est venu me voir : il avait le désir de m'aider. Je suis allé voir son dernier film : il y a quelque chose. Il travaille avec des rythmes et des sons
Robert Bresson : dix propriétés d'un objet, selon Léonard : clarté et obscurité, couleur et substance, forme et position, éloignement et rapprochement, mouvement et immobilité
Martin Scorsese, Cape Fear : Le jeu de De Niro est excessif, c'était son intention et je la trouvais bonne. Il fallait faire oublier la première version, atteindre un autre état d'esprit
Federico Fellini : comment naît un film ? De l'imagination à une réalité, plus sale et plus terreuse, parfois, mais possible, humaine, chaude
Fellini : Pour mettre en branle l'énergie créatrice...
Pascal Bonitzer, La disparition (sur Antonioni) : l'espace pur. Ce point ultime de l'être enfin délivré de la négativité des projets
L'idée de création est pauvre et magique. Le mot transformation m'excite plus | Valéry, Proust, Godard | Une puissance de transformation combinée à une puissance de conservation et de recommencement. Cette combinaison est le secret - majeur
Martin Scorsese : dans mes films, j'ai toujours voulu combiner Welles et Cassavetes. On est au-delà de la modernité quand on voit Othello aujourd'hui. On commence juste à penser le montage et le découpage comme lui les a pensés à l'époque
Mulholland Drive - Lynch délègue au personnage et à l'actrice (voire à l'actrice comme unique personnage féminin possible) la possibilité de devenir mise en scène
Asia Argento : Les rêves du film provoquent la réalité de ma vie - Construire une chimère, c’est provoquer la réalité
Fellini : Je ne trouve pas de grande différence entre fantaisie, rêve, et faits advenus dans la réalité. Les songes et les rêves ne sont-ils pas également des faits qui surviennent ?
Beauviala à Godard : Ce qui nous émeut, c'est l'image réinventée au réveil en fin de rêve, plusieurs couches accumulées, la trace des images concoctées les yeux fermés
Fellini : en finir avec la représentation complaisante ou angoissée du négatif, le miroir inquiétant du désordre et de la décadence
La vraie fin des Valseuses, coupée par Bertrand Blier
Crash / Cronenberg / Ballard : La passion sexuelle, chez beaucoup de gens, se développe à un niveau intellectuel plutôt que physique. Tout a lieu dans la tête. Crash oublie toute la machinerie démodée des conventions dramatiques qui limite tant le medium
Crash de Cronenberg / J. G. Ballard : Je crois en cette liberté fondamentale qu'est le jeu avec notre psychopathologie. Dans le domaine de la poésie et de la fiction, nous pouvons explorer les domaines qui, en tant que citoyens, nous restent interdits
Johnny Hallyday, acteur : pas besoin de faire des milliards de gestes pour exprimer ce qu'on a à faire, il suffit d'avoir ce qu'il faut dans le visage. L'acteur que je préfère : Clint Eastwood. Il ne parle pas beaucoup
Jean-Claude Brisseau : Sabrina Seyvecou, très bonne comédienne, a réussi à faire de son personnage quelque chose d'important, il s'est développé | Choses Secrètes
Claude Sautet - Première idée de César et Rosalie - Genèse des personnages
Jean-Claude Brisseau : Je suis hostile à un nouveau style de découpage où la caméra se déplace sans arrêt ; on ne voit plus rien. Souvent, on n'utilise cette figure que pour donner artificiellement du rythme
Robert Bresson : Le cinéma sonore a surtout inventé le silence | Brigitte Bardot : si tu m'aimes, tais-toi ! - LE MEPRIS - GODARD
Jean-Luc Godard : Aujourd'hui on ne parle plus. J'aime la dispute. L'avantage du cinéma, de la littérature, de l'art, c'est de faire des disputes violentes, de ne pas chercher le compromis. Les artistes n'ont pas besoin de compromis
Martin Scorsese : Mon père disait : Quand on parle trop, il n'y a plus un seul mot disponible, à la fin. Tout ce qui reste c'est d'aller chercher une batte de base-ball et de frapper !
Alain Bergala : Le vrai, le faux, le factice - Les grands cinéastes du faux tournant autour de la question de la vérité, de décor en décor, de masque en masque
Antonioni : La femme qu'il cherche est un personnage. L'homme est metteur en scène. Nous devons pouvoir aimer même les femmes que notre imagination fait naître
Pascal Bonitzer : C'est là la malediction de l'époque des effets spéciaux : le "on peut montrer" se transforme automatiquement en "on doit montrer". Au point crucial où cette loi passe dans le réel, le metteur en scène n'a plus rien à dire
Antonioni : On ne peut penser abaisser le niveau de l'art car les classes défavorisées ne peuvent l'atteindre. On ne parviendrait jamais plus à relever son niveau
Michelangelo Antonioni : le personnage-femme, filtre bien plus subtil de la réalité, plus inquiet et plus capable que l'homme de sacrifices et d'amour
Antonioni : Les fous voient des choses que nous ne voyons pas. Avec la raison, on ne s'explique ni le monde, ni l'amour, ni rien d'important. Ne suis pas de ceux qui croient tellement à la raison
Antonioni : Qui sait s'il y a une raison dans l'échec commercial de certains de mes films... J'ai toujours eu la pudeur de mes sentiments. Et je n'aurais pas du avoir la pudeur des sentiments de mes personnages ?
Antonioni découvrant Sophia Loren, refusée par le producteur (qui voulait un nom connu)
Les acteurs, même les meilleurs, ne s'intéressent pas au film jusqu'au moment où il y a un dialogue à dire
Michelangelo Antonioni : Ce qui me frappe d’abord dans un visage, ce sont les couleurs. J’ai toujours aimé les couleurs
Antonioni à Godard : Je sens devoir exprimer la réalité en des termes qui ne soient pas totalement réalistes. Prenez par exemple la petite ligne blanche abstraite qui...
Tonino Guerra, scénariste : Antonioni dilate beaucoup le scénario avec ses images. Il faudrait qu'il fasse d'abord le film et ensuite les dialogues
Entretien Godard - Antonioni : psycho-physiologie de la couleur
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