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Films Actors Directors | Films7.com
Films actors directors
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ART DU CINEMA
Natalie PORTMAN, Director: When I write again something for myself or someone else, I won’t put in so much rain. Water, it’s really not comfortable. But unfortunately it is very cinematic | A Tale of Love and Darkness / Une histoire d'amour et de ténèbres
Terrence Malick, conseils de réalisation à Natalie Portman : You make films your way, don’t let anyone else tell you that you need a three-act structure. You just make movies as you experience life
Jean-Luc Godard : Le simple fait que j'arrive à faire des films qui ne marchent pas et à gagner ma vie avec, je trouve que c'est vraiment un signe d'optimisme énorme
Agnès JAOUI : Aucun monteur ne remplacera le talent musical et rythmique d'un bon acteur. J'hésite à filmer des plans de coupe car les monteurs aiment monter et je vais devoir me battre pour garder un plan-séquence
Brit Marling - le passage à l'écriture d'une actrice
Godard : Je suis pour la politique des auteurs, mais pas n'importe laquelle. Vouloir ouvrir la porte à tout le monde absolument est une chose très dangereuse. L'inflation menace. Le côté snob du jeu de la découverte, il faut le laisser à "L'Express"
Luchini : Jouvet, Bouquet, ces deux maîtres qui chérissent la dépersonnalisation sont des acteurs à la personnalité écrasante... Sans doute n'est-il pas possible d'énoncer une théorie du jeu de l'acteur : il n'y a que des pratiques d'acteurs singulières
Jean-Luc Godard : Et le cinéma c'est à la fois la vie, et dès qu'on filme la vie, les gens vous disent ce n'est plus du cinéma, on ne va pas payer pour voir la vie deux fois de suite
Godard : J'ai un besoin très fort dans mon travail d'être critiqué, mais avec des preuves, qui me donneraient des idées pour mon prochain film. Je suis désolé, mais votre article ne m'a pas donné une seule idée pour mon prochain film
Jean-Luc GODARD : Je me suis remis à jouer au tennis, parce qu'au tennis, quand on envoie la balle, le principe, c'est de vous la renvoyer. Alors que dans la vie, quand on envoie la balle, le principe, c'est de la garder
Jeff Nichols : Avant de me mettre au travail, je reviens toujours à "No Country for Old Men" des Coen. Les mouvements de caméra sont incroyables
Michel Piccoli reçoit un scénario dans lequel il trouve la phrase qui définit son personnage : C'est un personnage de Marienbad qui veut jouer le rôle d'un personnage de Rio Bravo | Alain Bergala, Godard au travail : Le Mépris
Proust / Malick : ceux qui se sont fait une vie intérieure ambiante ont peu d'égard à l'importance des événements. Ce qui modifie profondément pour eux l'ordre des pensées, c'est bien plutôt quelque chose qui semble en soi n'avoir aucune importance
Ariane Mnouchkine : un supporter, un metteur en scène : quelqu'un qui, par sa crédulité, sa confiance, permet à l'acteur de retrouver sa propre crédulité, sa propre confiance et, donc, les visions salvatrices
Marcel Proust / Natalie Portman : elle s'était commandé une toilette de deuil. Dans la vie de la plupart des femmes, tout, même le plus grand chagrin, aboutit à une question d'essayage
Pablo LARRAIN : Je ne fais pas dans le réalisme. Pour moi tout cinéaste est un gamin avec une bombe. J'adore les films des frères Coen
Natalie PORTMAN | JACKIE | Pablo LARRAIN | VIDEOS, PHOTOS, CRITIQUES
Claude Sautet : Quand j'étais jeune, c'était les films B américains qui m'intéressaient par leur franchise physique dans lesquels on ne sentait intervenir aucun élément de culture apparent ; c'est la présence physique du cinéma
Deleuze : Bresson, Rohmer. L'image visuelle devient archéologique, stratigraphique, tectonique. Couches désertes de notre temps qui enfouissent nos propres fantômes. Fragmentations du corps féminin
Roberto Rossellini : la vocation de l’homme est le temps libre, pas le travail | Avant tout, le spectateur veut absorber un produit qui lui soit familier. Tout ce qu’il peut accepter, ce sont de petites variations à l’intérieur de ce produit
Eric Rohmer : Quand je filme, j'essaie d'arracher le plus possible à la vie même. Je ne cesse de relire Balzac, Dostoïevski, Meredith ou Proust, auteurs prolixes, riches, touffus. Ils m'apportent la présence d'un monde vivant sa propre vie
Godard, Pialat, Rohmer, Truffaut : Vous pouvez le faire sans l'Avance sur Recettes | Il y a une part, probablement, de paresse, et puis aussi de contamination, l'idée que quand on est passé par un certain chemin, on ne peut plus revenir en arrière
Fabrice Luchini : Au cinéma, j'ai découvert que la somnolence y est essentielle. Si vous êtes somnolent, la caméra fait de vous ce qu'elle veut. Si vous la ramenez trop, vous encombrez. Il faut atteindre cet état que Louis Jouvet qualifiait de vacant
Marcel Proust / Terrence Malick : "Il était temps de commencer" (Le Temps Retrouvé) / "Commence !" (Knight of Cups)
La femme dans le cinéma de Terrence Malick : Finalement, pour caractériser à l'écran la figure féminine, un motif revient à chaque fois : la femme-rivière. Dans tous les films, une femme marche pieds nus dans l'eau | Alexandre Mathis
A propos du Gros Plan et du visage humain (Mise en scène Cinéma / Théâtre). Paroles d'Antonioni, Bergman, Bresson, Chéreau, Godard, Larrain, Renoir, Syberberg, Tati, Truffaut, Vitez, Welles | + Proust
Deleuze : Chez Bunuel, la découverte de pulsions propres à l'âme, aussi fortes que la faim ou la sexualité, et se composant avec elles... Une question du salut, même si Bunuel doute fort de chacun des moyens de ce salut, révolution, amour, foi
Martin Scorsese : Mean Streets n'est pas une tranche de vie, cela ressemble plutôt à un opéra ; un opéra désinvolte, intense et violent, à la fois très fidèle à la réalité et très stylisé
Brit MARLING : Something I really learned from people we spent time with on the road is, they just do. They don’t wait for permission
Rohmer, Bresson, Dostoïevski : la voix étrange de l'acteur, dialogue, discours direct et indirect (Deleuze / Chion)
Deleuze : Ce que disait Cassavetes... Ce qui fait partie du film, c'est de s'intéresser aux gens plus qu'au film, pour que les gens ne passent pas du côté de la caméra sans que la caméra ne soit passée du côté des gens
Valère Novarina : Tous les grands acteurs sont des femmes. Ils jouent avec tous leurs trous, avec tout l'intérieur de leur corps troué, pas avec leur bout tendu. On est acteur parce qu'on ne s'habitue pas à vivre dans le corps imposé
Pablo LARRAIN : Godard disait justement que la plupart des réalisateurs se considéraient comme des aéroports ou des gares, mais qu’il préférait se voir comme un train ou un avion, à cause de cette idée de mouvement et de transition
Arthur Penn : Votre idée, chacun de ceux qui vous entourent sait exactement comment elle doit être réalisée, et ce qui ressort finalement de tous ces efforts précis, ce n'est pas votre idée, mais l'archétype de l'idée, le lieu commun, le banal
Stéphane Braunschweig : J'ai entendu dire : "La mise en scène, il ne faut pas que ça se voie". Mais un vêtement, on a envie qu'il ait une forme. La mise en scène, ça doit se voir. Mais qu'elle soit "visible" ne signifie pas qu'elle doive être "voyante"
Claude Sautet : quand j'ai proposé à Daniel Auteuil le personnage dans Quelques jours avec moi, il était très déçu : "il ne fait rien". Et il a découvert qu'il pouvait livrer une partie introvertie de lui-même
Roman POLANSKI : mes films ne sont pas "français" ! Ils ne sont pas des émissions de radio illustrées par des diapositives. Je suis toujours prêt à sacrifier un peu les dialogues
Mélanie Laurent explique son choix de Lou de Laâge pour le rôle de la perverse narcissique : j'avais vu une photo d'elle sur Internet, où elle faisait peur. Très flippante, dure et inquiétante // Fincher caste Ben Affleck sur Google Images
Peter Bogdanovich : La logique d'un rêve... Je commence à mieux aimer ce film | Orson Welles : Continue à faire des efforts
First and Final Frames | VIDEOS I & II (opening and closing shots of 125 films)
Lee STRASBERG : des gens vous trouvent un très grand talent, mais ne vous donnent pas de rôles. Pourquoi ? Il y a une raison...
Agnès JAOUI : On a le goût des acteurs et de l'être humain qu'il y a derrière, et qui va davantage nous divertir qu'une poursuite de voitures. Il y a des gens de cinéma que ça effraie, tant de mots et tant de textes
Lee Strasberg : Mon actrice préférée. Et franchement... j'aimais la regarder. Il est difficile de parler du jeu théâtral simplement par rapport au plaisir qu'en retire le public
Douglas Sirk : Le studio Universal manquait de grandes stars sous contrat. Dans de telles circonstances, la seule chose à faire c'est de fabriquer une star. Je me suis donc mis en chasse. La caméra a sa propre vision
Greta Gerwig, Lola Kirke : J'ai envie de tout faire mais je trouve pas l'angle d'attaque pour en faire du vrai, du solide | MISTRESS AMERICA | Noah Baumbach
Vincent Lindon : J'aime beaucoup Lelouch, c'est un cinéaste énorme. T'arrives un matin, il te dit même pas que tu meurs. C'est au moment de la scène, il te fait : Tombe, t'es mort
Jaoui / Bacri : Les acteurs sont les meilleurs lecteurs de scénario. Souvent les producteurs ou les gens qui ont la responsabilité de financer des films ne savent pas les lire. Comment le texte va prendre forme et corps
Isabelle Huppert : Je ne pense pas faire partie des actrices que le public aime, je pense que je fais partie des actrices dont le public a besoin
Vincent Lindon / Claire Blondel : l'important est de savoir ce qu'on veut
Gilles Deleuze : Les gens qui disent "il n'y a plus d'auteurs aujourd'hui" supposent qu'ils auraient été capables de reconnaître ceux d'hier, au moment où ils n'étaient pas encore connus. C'est très vaniteux
Lee Strasberg : Cependant, quand on dit trop de choses aux acteurs, on les constipe. Malheureusement, cela ne les aide pas, alors qu'une toute petite chose a souvent beaucoup plus d'importance
Paul Valéry : Conserver la merveille dans l'accoutumance. Ceci est une valeur rare dans les oeuvres. Les amateurs exclusifs de nouveau ne songent pas à la qualité de pouvoir être répétée, réentendue, repensée, revue - à la valeur Re - des oeuvres
Tadié: Prenez le Journal d’un curé de campagne, Bresson, rien ne manque par rapport au livre de Bernanos. Tout est transposable. A partir du moment où on se dit que le public ne supportera pas la complexité, et où on va vers la superficialité, on se perd
Lee Strasberg : Cependant l'acteur doit avoir un ego assez grand pour reconnaître le travail qu'il doit faire par lui-même ; il faut qu'il se rende compte que le metteur en scène ne sait pas toujours comment l'acteur accomplit ce travail
Jean-Pierre BACRI : Le caractère choral de nos scénarios. Des convictions politiques font qu'on est atterrés par les films où il y a deux rôles principaux et une cinquantaine de figurants qui donnent la soupe aux deux jeunes premiers
Agnès Jaoui : J'aime la mélancolie à vrai dire. C'est mon amie depuis longtemps et j'ai fini par l'aimer
Pourquoi Jean-Pierre Bacri n'est pas devenu réalisateur, comme Agnès Jaoui
Jean-Pierre Bacri : On sent que l'auteur s'est dit "je vais rajouter 1h20 à mon idée". Et c'est ça, se tuer
Orson Welles : une fois de plus, la légende, "que je déteste terminer mes films car pour moi, c'est l'équivalent de la mort", m'a fait perdre l'occasion de tourner un film. Quant à moi, rétablir la vérité, c'est une nécessité, une question de survie
Rooney Mara : Una | Benedict Andrews | 'Una' gazes into the heart of a devastating form of love and asks if redemption is possible
Scorsese : Il ne s'agit que de cette obsession. Il n'y a de place pour rien d'autre. J'ai connu cela dans mes relations personnelles, que je limite à un noyau d'amis. Je connais cela dans toutes les choses de ma vie
Roman Polanski : J'étais profondément influencé par Gregory, L'oeil et le cerveau : nos perceptions sont façonnées par la somme de nos expériences visuelles
Antoine Vitez : l'école idéale. Une école commune du théâtre et de l'image-son-acteurs, et non de l'acteur ou du metteur en scène ; retarder les spécialisations
Polanski / Kubrick : si difficile de trouver un sujet qui vous stimule vraiment, à vous lancer dans cette offensive très longue qu'est un tournage
Proust / Malick : C'était surtout un homme qui au fond n'aimait vraiment que certaines images. Et s'il avait eu à se défendre devant un tribunal, malgré lui il aurait choisi, non selon l'effet qu'elles pouvaient produire sur le juge, mais...
Ella RUMPF / Natalie PORTMAN / Emily BLUNT | Ecris-moi un rôle comme tu l'écrirais pour un homme, sans te poser la question de ma féminité | her herself as a subject of desire, not an object of desire
Orson Welles : Bon sang, tout avait déjà été fait quand moi j'ai commencé ! J'essaie de me persuader que tout existe pour la première fois. Moi, pour être heureux, j'ai besoin de me sentir comme Christophe Colomb ; j'ai envie de découvrir l'Amérique
Xavier DOLAN : pas une performance aux Oscars dans les dernières années qui soit plus forte que celle de Natalie Portman dans Jackie de Pablo Larrain. Elle redéfinit l'interprétation moderne
Marc Nicolas, FEMIS : L'école est l'endroit où il devient possible de dire “Je suis cinéaste”, car on vous y désigne comme étant dans cette position-là, vous oblige à vous y coller, vous faisant travailler à la construction de votre identité d'artiste
Natalie Portman : as a subject of desire, not an object of desire ; her humanity not as a wife, as a mother, as a daughter ; a rare opportunity in our industry to get to portray a woman so complicated ; not just in relationships to other men
Claude Sautet : Mes films sont influencés par la musique et la sculpture. La musique polyphonique, les choeurs à voix multiples. L'extrême simplicité, cette infinité de variations... L'ornementation
The Works of Christopher Nolan (Directing / Writing) | VIDEO
The Christopher Nolan’s Darkness | VIDEO
Hands of Nolan | VIDEO
No More Parties in L.A.: The Modern City in Terrence Malick’s “Knight of Cups” | VIDEO
Nicolas Winding Refn: Beauty and Brutality | VIDEO
Christopher Nolan: Winding Back the Clock | VIDEO
Kristen STEWART | PERSONAL SHOPPER - Olivier ASSAYAS | Prix de la Mise en Scène, Festival De Cannes 2016 | VIDEO, PHOTOS, ENTRETIENS
Xavier DOLAN : I want to work with actors whose work I worship.... actors who have ideas. | Natalie Portman redefines modern acting
Pour l'actrice, dépasser la limite des rôles féminins : Hamlet incarnée par une femme, Angela Winkler | Anne Tismer : Jouer Danton | Emily Blunt : Ecris-moi un rôle comme tu l'écrirais pour un homme, sans te poser la question de ma féminité
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