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ART DU CINEMA
Fellini : mon Casanova et le Barry Lyndon de Kubrick suffoquent tous deux dans un espace vide : l'un est étouffant, l'autre est tellement vaste qu'il en devient également asphyxiant
Federico Fellini : Conscience et créativité. Spontanéité | Critère pour juger une oeuvre d'art
Alain Bergala, Godard au travail - Comment est née la phrase d'Anna Karina dans Pierrot le fou, "qu'est-ce que je peux faire, j'sais pas quoi faire"
Jean-Michel Frodon : si Robert Bresson filme Marika Green comme la Renaissance italienne a peint les saintes, il donne l'impression d'avoir surtout éprouvé violemment la beauté des femmes chez Botticelli, Giorgione ou Carpaccio
Alain Badiou : Robert Bresson dit que la jeunesse est tentée par une sorte d'absence radicale. Il fait un cinéma des appels : inclinée sur le suicidaire, c'est la courbe dense d'une nuque de femme
David Lynch : J'aime les choses qui ont, en elles, le germe d'autres choses. Il faut qu'elles soient abstraites. Plus elles sont concrètes, moins ce germe a des chances d'exister
Eric Rohmer : nos opérateurs manquent d'audace, et les écoles de cinéma ne sont pas faites pour leur en donner | Francis Ford Coppola : les acteurs et les techniciens sont comme les spectateurs : ils résistent très fort face aux innovations
Robert Bresson : Mon coeur va constamment vers ces garçons et ces filles qui s'interdisent une société fondée scandaleusement sur l'argent et le profit, sur la guerre et la peur
Du gag comique au gag tragique, technique du gag au cinéma. Hitchcock et les gags dramatiques
Jean-Luc Godard à Robert Bresson : il faut violer la photographie (la cinématographie), la pousser dans ses...
Antonioni : je grimpais jusqu'à une fenêtre pour voir qui et quoi il y avait dedans. Regarder en l'homme quels sentiments, quelles pensées le font agir, dans son chemin vers le bonheur ou la mort
Terrence Malick : la souffrance des gens est cachée, c'est leur seule façon de survivre. La souffrance les a rendus mesquins, étroits d'esprit et durs. C'est ce qui arrive à Kit
Melvil Poupaud : le travail du comédien, je le conçois comme une création plus large : une création de soi-même, mais pas d'un objet dans chaque film
Artavazd Pelechian, montage : En prenant deux images de base, qui portent une charge significative, je n'essaie pas de les rapprocher, de les confronter, mais de créer une distance entre elles
Emir Kusturica : Ce que je sais du montage, je l'ai appris chez Fellini. Il travaille davantage dans une structure épique que dans une structure dramatique
Eric Rohmer : Je prends les acteurs comme ils sont. Je ne donne pas d'indications de gestes d'expression. Je préfère les gestes qui ne veulent rien dire
Straub / Huillet : Kafka, le seul grand poète de la civilisation industrielle ; cette peur permanente de perdre son poste | Karl, un fou, comme dans Parsifal : le pur innocent
Faire travailler l'imagination : style nébuleux | Spielberg et Douglas Trumbull, créateur d'effets spéciaux, Rencontres du troisième type
Jacques Rivette : théories du cinéma, tendances à privilégier l'espace ou le temps. En oubliant que...
Abel Gance, à Rivette et Truffaut : on jongle avec les 4 ou 5 vedettes, c'est complètement stupide
Claude Sautet : Il faut résister continuellement à une certaine veulerie, à une certaine servilité. Quand un metteur en scène s'entêtait dans sa volonté, sa vision, c'était comme une bouffée d'air frais
Godard : J'ai mis 10 ans à faire un film, parce que c'est un milieu très fermé, très corporatiste... Si tu n'as pas un oncle, ou un ami, ou un grand-père pour te faire rentrer là, tu n'y entres pas
David Lynch : la violence dans les films a atteint un degré absurde. Je suis tombé amoureux d'Une histoire vraie
David Lynch : les choses que je préfère. On pense que les choses se présentent d'une certaine manière, puis quelque chose arrive et vous les voyez d'une autre manière
David Lynch : Tout est basé sur les échecs. ABC a rendu service à Mulholland Drive, en en refusant le pilote. Il fallait que ce projet en passe par là, ouvrant des pistes narratives sans les refermer
David Lynch : certains aspects du film sont étranges et grotesques, mais le monde est étrange et grotesque
David Lynch : On apprend assez vite que ce qui vous excite n'excite pas nécessairement les autres
Woody Allen, 76 scénarios : Je ne suis pas un bon écrivain mais je travaille comme un robot. Je pense tout le temps à mon scénario
Woody Allen : Il y a mille façons de raconter une histoire, avec beaucoup de plans ou sans jamais couper. J'ai choisi les avantages du plan-séquence, parce que je suis flemmard
Eric Rohmer, l'artiste et la politique : celui qui est fait pour exalter les passions des hommes ne peut être que leur piètre modérateur. C’est à l’organisation du plaisir que l’artiste devrait s’attacher
Ingmar Bergman, Qu'est-ce que "faire des films" ?
Steve Carell, to Rooney Mara (Carol): I was hanging on your face. It was fascinating
Conversation avec Rooney Mara (Carol) : la raison du Prix à Cannes, la question des femmes à Hollywood, une scène sexuelle de Carol coupée au montage
Morgan Freeman : ce qu'il n'aime pas trouver dans un scénario ; comment il prépare ses rôles
Matt Damon, la direction d'acteur de Steven Soderbergh
Ariane Labed, de la danse au cinéma : je fais tout passer en priorité par le corps. De temps en temps il y a toujours comme ça un corps qui explose ... Un moment où les corps sortent d'eux-mêmes
Leonardo DiCaprio évoque ses premières auditions de jeune acteur, un changement d'attitude pour mieux les aborder. Puis sa première rencontre avec Scorsese
Tarantino, son meilleur conseil de direction d'acteur (donné par Harvey Keitel), pour les premières auditions
Emily Blunt : Ecris-moi un rôle comme tu l'écrirais pour un homme, sans te poser la question de ma féminité
Rooney MARA : People just don’t know how to write female dialogue. So many men are afraid of writing female dialogue. We’re not that different, you know, we’re all human
Martin Scorsese : Raging Bull parlait de moi - J'ai arrêté la drogue. J'avais retrouvé ce que j'avais envie de faire, de dire
Ariane Labed, jeu et direction d'acteur | Qu’est ce que tu attends d’un réalisateur quand tu es sur le plateau ?
La direction d'acteurs vue par Billy Wilder
La monteuse de Martin Scorsese : Marty prend beaucoup de décisions sur le jeu des acteurs au montage. Il ne fait pas cela au tournage
Cecil B. DeMille : une femme trop belle ne sera jamais une star. Un homme qui réalise un film n'achète pas une peinture ou une belle photographie. Il demande surtout et avant tout un jeu vivant créateur d'illusion
Jean-Claude Bringuier, réalisateur : En fait on ment toujours puisqu'on fait un sujet. Qu'est-ce que traiter un sujet, sinon choisir arbitrairement dans une réalité diffuse ?
Ozu n'aimait pas ça, quand un acteur ne pouvait pas répondre en laissant un silence avant de parler. C'était le jeu des acteurs qui n'avaient pas joué dans les films muets
John Malkovich, direction d'acteur : la manie des recherches tue la créativité
Fabrice Luchini et la direction d'acteur, liberté et contraintes
Michelangelo Antonioni, direction d'acteur
ALAIN RESNAIS : Une des grilles qui m’intéressent dans le film, c’est celle des univers parallèles. Il est fort possible que tous les personnages aient raison
John Ford : Moi, ce qui m'intéresse, ce sont les conséquences d'un moment tragique sur des individus différents
Michael Cimino : Nous sommes en mouvement et on ne revient nulle part
Eric Rohmer, casting : voir l'acteur dans la vie et pas au théâtre ni dans un film
Antonioni : le rapport entre l'acteur et le metteur en scène, une entente sur le plan sensoriel, où chaque parole est superflue
François Truffaut : littérature orale, le son et la prose au cinéma, romans enregistrés par des comédiens, culture et anticulture
L'errance dans le cinéma contemporain : Easy Rider - Ils ont peur de ce que vous représentez, la liberté
Pascal Bonitzer, scénario : accrocher par l'équivoque ; moins on explique mieux ça vaut ; entrer abruptement dans l'histoire sans raconter le background des personnages
Vincent Macaigne, de l'amour : savoir combien de temps t'auras assez d'amour pour les gens, pour résister à la médiocrité des autres ?
Emmanuelle Béart : Le théâtre est salvateur, parce qu'il n'y a pas ce problème de physique. Ce qui importe c'est une aura, ce que j'aime tant chez les êtres humains : la lumière
Gérard Depardieu : Le problème, c'est de prévoir... Un auteur, il voit les choses, il les rêve, il les fabrique. Comme dit Molière : Qu'il est long le chemin du projet à la chose
Gérard Depardieu : Rien de plus simple que de faire couler une glande lacrymale, ce qui compte c'est comment tu arrives peut-être à la retenir
Paul Valéry : Comme on peut commencer... Par les masses émotives, les états inarticulés ou par les rythmes et mouvements, ou les mots isolés. Ou bien - acte inverse - qui de la formule nette procède vers la matière
François Truffaut : le style des plus grands cinéastes du monde | Le point de vue du metteur en scène, par Sidney Lumet | + Paul Valéry, Louis Jouvet, Yoshi Oida, Fellini
Deleuze - Les personnages de Visconti : Ils se sont entourés d'art mais ce savoir les sépare et de la vie et de la création
Passage du cinéma, 4992 | le seul livre à raconter l'histoire du cinéma (Jean-Luc Godard)
Pascal Bonitzer : écriture de scénario, état de conscience du personnage et style de jeu de l'acteur. Bergman, Fellini
James Cameron : J'accomplis une bonne partie de mon travail créatif en rêvant
Un scénario de science-fiction de Michelangelo Antonioni
Claude Chabrol : Il n'y a pas de grands ou de petits sujets, parce que plus le sujet est petit, plus on peut le traiter avec grandeur. En vérité, il n'y a que la vérité
Woody Allen : Mes héros ne viennent pas de la vie mais de leur mythologie, de la diva au gangster, au producteur, au dramaturge idéaliste, à l'intellectuel marxiste
Jean Herman, scénariste : Pour commencer à travailler... S'imposer une sorte de maladie qui sera "la" maladie du film
Michel Audiard : Je résous les problèmes en commençant à écrire. Il ne faut pas se demander comment démarrer, il faut le faire. Si je réfléchis trop, je n'ai plus envie de faire le film
Jean-Pierre Bacri : Il n'y a rien qui vient, on fait venir | Ecrire pour jouer
Tim Burton : enfant, ce n'étaient pas les monstres, mais plutôt les humains qui me déroutaient
Tarantino : Tout le monde pense qu'un film doit être linéaire. Je ne vois pas pourquoi
Milos Forman, la fomation du cinéaste : qui vous êtes, ce que vous pensez, ce qu'est votre imaginaire
Ingmar Bergman, le parti des comédiens
Clint Eastwood, réalisateur, casting : pour le choix des acteurs, je préfère me déterminer sur vidéo, sans rencontre
Claude Miller, direction d'acteur : Ma conception du travail avec les acteurs m'interdisait de leur faire part de l'existence de ce story-board
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