Skip to main content
Films Actors Directors | Films7.com
Films actors directors
Audio
Models
Twitter
ART DU CINEMA
Antonioni : La critique cinématographique concernant seulement la substance du film, comme s'il ne s'agissait pas de valeurs filmiques d'ensemble à juger
Leos Carax, ne pas montrer les rushes aux acteurs : Une actrice qui ne s'est pas vue du tout dans la peau du personnage, son appétit du personnage grandit de jour en jour, elle se risque de plus en plus, sans savoir ce qu'elle risque
Maurice Pialat par Serge Toubiana | VIDEO INSTITUT LUMIERE
Serge Toubiana : Depardieu est le plus grand acteur du cinéma français, depuis que le cinéma existe. Je dis ça exprès parce qu'il y a beaucoup de polémiques sur lui
Leos Carax : La panique de ne pas arriver à la légèreté dont on rêve. Le bonheur inouï. C'est l'élan qui est beau. Tout devient un peu dégoûtant si on sait tout
Gérard Depardieu : Chacun sa merde, c'est l'humilité avec ses souffrances. Et quand il voit son rêve se réaliser, oh panique, battement de coeur, tension !
Gérard Depardieu : Aujourd'hui, tout le monde rêve d'une vendeuse de Prisunic qui soit une star, point. Le reste, c'est autrement plus difficile. Comme dit Molière : Qu'il est long le chemin du projet à la chose
Samuel Fuller : Je ne peux pas faire un vrai film de guerre, parce qu'on est en sûreté. Je cherche qu'on fasse l'expérience du danger
Martin Scorsese : Enfant, je dessinais des storyboards pour des films imaginaires mis en scène par des gens comme Hitchcock et Huston
Martin Scorsese : Ida Lupino s'efforça de remettre en question l'image passive, décorative de la femme dans les productions hollywoodiennes
Jessica Lange : Frances Farmer s'est révoltée contre la qualité du travail qu'on lui faisait faire à Hollywood. Un difficile saut dans le réel !
Martin Scorsese : Film, rêve et réalité. Partir de la réalité banale, et mélanger les choses, les rendre confuses
Lorsque Sharon Stone pleure sur son lit, c'est la culpabilité de Scorsese qui revient : ses années d'analyse, ses nuits de masturbation, ses pulsions suicidaires et sa maladie faite film
Martin Scorsese au bout de la nuit blanche : Penser au sexe et m'en sentir coupable. Devenir une unité de plus en plus ramassée sur soi-même, en étant seul très souvent
#FreeCarol - Carol : Delta Air Lines censure les baisers lesbiens du film
Commettre l'irréversible. Dégager une Image de tous les clichés, et la dresser contre eux | Gilles Deleuze, CINEMA 1
Orson Welles transgressait des règles qui n'existaient même pas
Emmanuel Mouret : surprises, possibilités ; on ne peut pas anticiper le rapport du comédien avec le décor et avec le texte. Le vrai travail sur un plateau, c'est ça
Gérard Depardieu : pour que les maladresses deviennent des grâces ; je suis davantage fasciné par la maladresse, qui est de la générosité, que par la technique ou l'assurance
Gilles Deleuze, CINEMA 1 : illusions vitales, illusions réalistes plus vraies que la vérité pure
Gérard Depardieu : comment peut-on croire à ce principe de vie basé sur l'opposition blanc-noir, sans ouverture ?
Woody Allen : Les mots que les studios aiment entendre
Gérard Depardieu : Maurice Pialat est très fragile sur ce qu'il reçoit de ce qu'il a pensé, comme quand on rêve une chose et qu'on voit ce rêve se réaliser
David Cronenberg à son agent qui ne voulait pas qu'il fasse Crash pour ne pas ruiner sa carrière : Mais c'est cela, ma carrière !
L'avant-fin flaubertienne de César et Rosalie (Claude Sautet), soudain la mesure du temps devenant... : Ils prirent des trains, ils prirent des avions... (Flaubert : Il voyagea. Il connut la mélancolie des paquebots...)
David Cronenberg : Les bons acteurs ont des radars
David Cronenberg : Mais pourquoi pas ? Qui dit cela ? D'où vient une telle règle ?
Michael Cimino | Wide Shot (VIDEO)
Bresson à Godard : Quand je pense qu’on me dit parfois que dans mes films on parle faux ! Moi, je ferais parler faux ! Mais qu'est-ce qui leur fait croire qu'ils parlent juste, eux ?
Le mouvement des corps chez Jean-Luc Godard | Jacques Bonnaffé
Le magnétisme des corps qui s'agrippent, seul cinéma qui vaille pour Pialat | Alain Bergala, La grappe humaine
Pialat - Truffaut | T'aimes ça toi les films où l'on parle de la mer et la séquence suivante on est au bord de la mer ?
Jean-Loup Dabadie, scénariste : Dans les adaptations, il faut parfois savoir retourner l'oeuf de Colomb
Nathalie Baye : Il n'y a pas de très bons rôles de femme. Ils sont répétitifs. Beaucoup de comédiennes le disent et c'est vrai. J'ai toujours une certaine pudeur à demander à quelqu'un d'écrire pour moi
Claude Sautet : Dans les décors naturels, au contraire du studio, quelque chose existe de ce désordre universel, propre à l'homme
Claude Sautet : chercher comment, dans les rapports banals, les instants prennent une épaisseur presque tragique, jamais sordide, et toujours bouleversante
Sandrine Bonnaire : comme actrice, Pialat m'a appris à essayer d'être intègre par rapport à l'idée des artifices, de la composition, de la performance. Le moins chichiteux possible
Dominique Besnehard : la direction d'acteur de Maurice Pialat. Il était très fort pour détourner les relations réelles entre les gens au profit du film
Charlie Chaplin : L'idée de ma canne est peut-être ma trouvaille la plus heureuse
The Filmmakers (VIDEO)
NATURE THROUGH MALICK (VIDEO)
KUBRICK / TARKOVSKY (VIDEO)
Samuel Fuller : c'est le monde qui fait ce que vous êtes. Ce n'est pas vous qui faites ce monde. Le cerveau a son point de non-retour
Paul Schrader, scénariste de Taxi Driver et Raging Bull, explique comment il choisit ses étudiants en écriture de scénario
Robert Bresson : Quelqu'un me disait : "Au cinéma on a tout fait". Le cinéma est immense. On n'a rien fait | Ariane Labed : le cinéma peut tout inventer
Mulholland Drive de Lynch : dans un au-delà où il ne s'agit plus d'imiter mais de vivre avec ses fantômes
ANTONIONI | C'est nous qui les rendons pareils. Nous déchiffrons chaque situation, chaque expérience, à l'aide du même vieux code. Nous ne faisons que nous conditionner
Mulholland Drive et Vertigo. Lynch contracte en une seule figure le voyeur et son objet, le regard et l'image, le masculin et le féminin.
Michelangelo Antonioni : Enfin, je ne sais pas. Si vous me reposez la question dans dix minutes, peut-être vous répondrais-je autrement
Gilles Deleuze : Le duel au cinéma. Le binôme est un polynôme
Pierre Braunberger : c'est une caractéristique des grands metteurs en scène que d'avoir un couloir étroit, qui est leur propre personnalité
François TRUFFAUT : CINEPSYCHOPATHIA SEXUALIS | L'Amour au cinéma - Tableau des anomalies sexuelles à l’écran
Jean-Pierre Beauviala : à trop se regarder tout de suite, sans laisser le temps distancier faits et gestes, on corrige, on rogne, on ramollit l'expression, jusqu'à se mettre à mentir
Michael Cimino - Tribute (VIDEO)
Philippe Grandrieux : Explorer l’âme humaine à travers des personnages complexes c’est quelque chose qui me guide dans mon cinéma et que je retrouve dans la littérature, en particulier chez Dostoïevski ou Proust
Alain Bergala : Les scènes les plus troublantes de Hitchcock sont souvent celles où une tension sexuelle cachée pousse sous le scénario de surface, le déforme, où un motif ordinaire est surinvesti par un affect déplacé, comme dans le rêve
Orson Welles : pour ma vision du cinéma, le montage n'est pas un aspect, c'est l'aspect. C'est toute l'éloquence du cinéma que l'on fabrique dans la salle de montage
Eliminer une certaine pornographie expressive : Akira Kurosawa, Isabelle Adjani : le jeu de l'acteur dans le théâtre japonais et dans le théâtre européen
Tout est contesté par tout le monde. Que peut-on croire ? | Jean-Pierre Marielle, Jean Carmet | Bouvard et Pécuchet | La "méthode", ils voudraient la trouver, absolue, dans les livres
Il est ainsi - Terrence Malick
Céline Sallette et Roland Barthes : aimer à fond quelqu'un d'inconnu, et qui le reste à jamais (Fragments d'un discours amoureux) - Et propos sur l'expérience de l'acteur
KUBRICKOPSYCHOSE | Hitchcock / Kubrick mashup
David Cronenberg : le corps est le fait primordial. Pour moi, le cinéma est fondamentalement tactile, sensuel, pas seulement visuel. Il faut que la pensée s'incarne physiquement
Sicario (Denis Villeneuve) aurait pu obtenir plus d’argent si le scénariste avait accepté de changer le personnage qu’incarne Emily Blunt en homme. Refus tout net
David Cronenberg : les émouvoir en leur montrant des choses qu'ils n'ont jamais vues et en établissant des connexions inattendues, des métaphores
Serge Grünberg : Le héros cronenbergien est malade. C'est finalement la maladie qui fait avancer le corps humain vers sa perfection envisageable
David Cronenberg : nos rêves subissent l'influence du cinéma. Les gens ne rêvent plus comme il y a un siècle. Ils utilisent des techniques cinématographiques, le montage...
David Cronenberg : Nous possédons des antennes sensibles à des choses différentes. Ce que nous faisons entrer dans nos corps et notre système nerveux est si vaste, un surplus s'écoule dans notre art, on ne peut pas l'incorporer à la vie
La couleur d'Eva Green | BRUNE BLONDE La chevelure féminine dans l'art et le cinéma
LE COMEDIEN | l'essence du comédien, vue par P-A TOUCHARD, administrateur général de la Comédie-Française, directeur du Conservatoire national supérieur d'art dramatique (CNSAD)
Alain Bergala : Michel Piccoli pense que la musique de Delerue sort de la souffrance des personnages : ma partition d'acteur et celle de Delerue, c'était la même humeur, le même secret
Jean-Luc Godard : Monika (Bergman), c'était déjà Et Dieu... créa la femme, mais réussi de façon parfaite
Ingmar Bergman : L'actrice Harriet Andersson est un des rares génies cinématographiques | Regard caméra - Monika
HITCHCOCK : Après le dernier plan de VERTIGO...
HITCHCOCK : Vertigo, féerie psychologique, est beaucoup plus important pour moi que North By Northwest, divertissement très amusant
FEMIS : Gilles Deleuze, l'espace visuel chez Robert Bresson, les valeurs tactiles, les mains raccordant les bouts d'espace. Un créateur, c'est pas un être qui travaille pour le plaisir. Un créateur ne fait que ce dont il a absolument besoin
Robert Bresson : La vie est presque entièrement faite de hasards. Le mal déboule, vertigineux. Pour une petite faute - le démon surgit
Jean-Luc Godard : Les femmes, les actrices, je ne les ai pas très bien traitées. J'ai respecté leur beauté aléatoire, mais je n'ai pas fait très attention à ce qu'elles pouvaient dire ou faire | Jean Seberg, copiée / citée de Preminger
CINEMA : A TRIBUTE
100 Years / 100 Shots
Pages
« first
‹ previous
1
2
3
4
5
6
7
8
9
next ›
last »