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Les 100 notes les plus lues du site
Song to Song | Terrence Malick
Sara Serraiocco Showreel
Les Garçons sauvages / Vimala Pons, Mathilde Warnier, Diane Rouxel, Anaël Snoek, Pauline Lorillard | Bertrand Mandico
Jean-Luc Godard à Anne Wiazemsky : Je suis tombé amoureux de la jeune fille de la photo, d'Au hasard Balthazar, de Robert Bresson
Léna (Aurélia Nolin) c'est l'Unique | Gilles Deleuze, Cinéma I : Chez Rohmer, c'est toute une histoire de choix. Le vrai choix est censé tout nous redonner
FEMIS : Gilles Deleuze, l'espace visuel chez Robert Bresson, les valeurs tactiles, les mains raccordant les bouts d'espace. Un créateur, c'est pas un être qui travaille pour le plaisir. Un créateur ne fait que ce dont il a absolument besoin
Antonioni : Les fous voient des choses que nous ne voyons pas. Avec la raison, on ne s'explique ni le monde, ni l'amour, ni rien d'important. Ne suis pas de ceux qui croient tellement à la raison
La théorie de François Truffaut était que l'être humain a une capacité limitée d'avoir des amis et que si vous en ajoutez un nouveau, il en chasse un autre. Comme il ne voulait pas les chasser, il ne rencontrait personne
L'acteur lecteur diseur : dire Proust, par André Dussollier et Denis Podalydès. L’oeil est paresseux. Avec la voix, on ne peut rien rater
John Cassavetes : moi-même, je suis à moitié fou. Et je pense que tout le monde est au bord de la folie mais ne veut pas l'admettre et prétend que c'est l'autre qui a tort
Gérard Depardieu : Aujourd'hui, tout le monde rêve d'une vendeuse de Prisunic qui soit une star, point. Le reste, c'est autrement plus difficile. Comme dit Molière : Qu'il est long le chemin du projet à la chose
Coeurs purs | Roberto De Paolis : Pour envisager de rester ensemble, ils doivent apprendre à s’éloigner des convictions sur lesquelles ils se sont construits | Selene Caramazza, Simone Liberati
Gilles Deleuze : Les gens qui disent "il n'y a plus d'auteurs aujourd'hui" supposent qu'ils auraient été capables de reconnaître ceux d'hier, au moment où ils n'étaient pas encore connus. C'est très vaniteux
La couleur d'Eva Green | BRUNE BLONDE La chevelure féminine dans l'art et le cinéma
David Cronenberg à son agent qui ne voulait pas qu'il fasse Crash pour ne pas ruiner sa carrière : Mais c'est cela, ma carrière !
Gérard Depardieu : pour que les maladresses deviennent des grâces ; je suis davantage fasciné par la maladresse, qui est de la générosité, que par la technique ou l'assurance
Vincent Macaigne, de l'amour : savoir combien de temps t'auras assez d'amour pour les gens, pour résister à la médiocrité des autres ?
Gérard Depardieu : Je veux rendre l'image la plus souple, la plus libre de l'acteur
Tournage de Conte d'été : Eric Rohmer chante "Je suis une fille de corsaire", avec Gwenaëlle Simon et Melvil Poupaud
Jeanne Moreau : Cette recherche dans les abysses. Plus on dit des choses sur soi, justes, vraies, plus le mystère s'épaissit
Jean-Claude Brisseau : Je suis hostile à un nouveau style de découpage où la caméra se déplace sans arrêt ; on ne voit plus rien. Souvent, on n'utilise cette figure que pour donner artificiellement du rythme
David Cronenberg : Nous possédons des antennes sensibles à des choses différentes. Ce que nous faisons entrer dans nos corps et notre système nerveux est si vaste, un surplus s'écoule dans notre art, on ne peut pas l'incorporer à la vie
Michael Cimino : Nous sommes en mouvement et on ne revient nulle part
Alain Bergala, Godard au travail - Comment est née la phrase d'Anna Karina dans Pierrot le fou, "qu'est-ce que je peux faire, j'sais pas quoi faire"
Godard : J'ai mis 10 ans à faire un film, parce que c'est un milieu très fermé, très corporatiste... Si tu n'as pas un oncle, ou un ami, ou un grand-père pour te faire rentrer là, tu n'y entres pas
Ariane Labed : quelque chose de l'ordre de la maladresse et de la perte, que Yorgos Lanthimos cherche chez l'acteur
Jacques TATI explique à Truffaut et Bazin la différence entre son style comique et celui de Charlie Chaplin
Antonioni : Lucia Bosè était merveilleuse. Ce n'était pas une actrice. Pour obtenir le résultat que je voulais, j'ai dû recourir à la violence, psychologique et physique
Formation de ballerine et jeu d'actrice | Alicia Vikander | such subtle things in terms of posture or the way you walk (Alex Garland) | ses déplacements ondulatoires hypnotiques (CNRS)
Gilles Deleuze / Minnelli : si vous êtes pris dans le rêve de l'autre, vous êtes foutu
Martin Scorsese : La musique du Mépris de Godard dans Casino. J'adore Le Mépris, ses couleurs, l'usage du Scope. Le sujet aussi : ce couple qui se déchire. La femme qui part avec le producteur. Et la magnifique tristesse de tout cela
Jean-Michel Frodon : si Robert Bresson filme Marika Green comme la Renaissance italienne a peint les saintes, il donne l'impression d'avoir surtout éprouvé violemment la beauté des femmes chez Botticelli, Giorgione ou Carpaccio
Pierrot le Fou n'est peut-être pas un film "fini". Mais c'est à coup sûr un film "commencé" | JEAN DE BARONCELLI, LE MONDE 1965
Leos Carax : La panique de ne pas arriver à la légèreté dont on rêve. Le bonheur inouï. C'est l'élan qui est beau. Tout devient un peu dégoûtant si on sait tout
Proust / Hitchcock / Godard : le souvenir n'est pas inventif, il est impuissant à désirer rien d'autre
Rooney Mara : Una | Benedict Andrews | 'Una' gazes into the heart of a devastating form of love and asks if redemption is possible
Orson Welles, direction d'acteur : Il faut que l'acteur se prenne pour un génie et qu'il aille au-delà de ses limites. Il y a des tas de moyens d'y parvenir
ALAIN RESNAIS : Une des grilles qui m’intéressent dans le film, c’est celle des univers parallèles. Il est fort possible que tous les personnages aient raison
Jean-Luc Godard : Les femmes, les actrices, je ne les ai pas très bien traitées. J'ai respecté leur beauté aléatoire, mais je n'ai pas fait très attention à ce qu'elles pouvaient dire ou faire | Jean Seberg, copiée / citée de Preminger
Du gag comique au gag tragique, technique du gag au cinéma. Hitchcock et les gags dramatiques
HITCHCOCK : Après le dernier plan de VERTIGO...
British Film Institute - CAROL élu meilleur film LGBT de tous les temps | ROONEY MARA, CATE BLANCHETT, TODD HAYNES
Philippe Grandrieux : Explorer l’âme humaine à travers des personnages complexes c’est quelque chose qui me guide dans mon cinéma et que je retrouve dans la littérature, en particulier chez Dostoïevski ou Proust
Camille Berthomier (JEHNNY BETH) | Jean-Paul Civeyrac : J'étais membre du jury au Conservatoire. Elle passait une audition. J'étais en état d'admiration. J'ai eu envie de la filmer. J'ai écrit le film pour elle
Isabelle Huppert : Les cours, j'ai pris ce qu'il fallait en prendre. Il faut vampiriser les cours et pas se laisser vampiriser par eux
Le mouvement des corps chez Jean-Luc Godard | Jacques Bonnaffé
Ingmar Bergman : L'actrice Harriet Andersson est un des rares génies cinématographiques | Regard caméra - Monika
Acteur d'occasion et Acteur professionnel : Alain Resnais et Antonin Artaud défendent les trouvailles propres à l'acteur professionnel
David Lynch : la violence dans les films a atteint un degré absurde. Je suis tombé amoureux d'Une histoire vraie
Antonioni à Godard : Je ne considère pas le Désert rouge comme un aboutissement : c’est une recherche. Tout ce qui a été fait m’ennuie. Peut-être ressentez-vous aussi la même chose ?
Jean-Luc Godard : Monika (Bergman), c'était déjà Et Dieu... créa la femme, mais réussi de façon parfaite
Jean-Luc Godard à Robert Bresson : il faut violer la photographie (la cinématographie), la pousser dans ses...
CAROL | Todd HAYNES | Rooney MARA | Cate BLANCHETT
Michel Audiard : Je résous les problèmes en commençant à écrire. Il ne faut pas se demander comment démarrer, il faut le faire. Si je réfléchis trop, je n'ai plus envie de faire le film
Conversation avec Rooney Mara (Carol) : la raison du Prix à Cannes, la question des femmes à Hollywood, une scène sexuelle de Carol coupée au montage
Paul Valéry : Pouvoir du vide. Pouvoir de la page blanche, pouvoir générateur. On s'assoit devant le vide papier. Et quelque chose s'écrit
Martin Scorsese : Qu'est-ce qu'un metteur en scène indépendant ?
Ariane Labed : Jouer nue, ça fait partie de l’ordre de l’engagement du corps entier que je peux offrir dans un film. Je trouve ça beau de faire ça, d’offrir ça, si ça vaut le coup
Pierre Richard : l'horlogerie du scénario comique. Finalement, il n'y a que le travail... L'idée, c'est autre chose
Federico Fellini : Conscience et créativité. Spontanéité | Critère pour juger une oeuvre d'art
Martin Scorsese : Raging Bull parlait de moi - J'ai arrêté la drogue. J'avais retrouvé ce que j'avais envie de faire, de dire
Patti Smith : art, livres, opéra, cinéma, Godard, Bresson, et Rock and Roll... : J’ai choisi résolument d’être libre et de n’être dépendante de rien. Sauf de l’art peut-être. Ou de l’amour
François Truffaut : le style des plus grands cinéastes du monde | Le point de vue du metteur en scène, par Sidney Lumet | + Paul Valéry, Louis Jouvet, Yoshi Oida, Fellini
Eric Rohmer : Ce que j'aime montrer, c'est le visage et les mains en même temps. J'aime les décors hauts, j'ai toujours aimé les montagnes. Je n'aime pas du tout le format appelé panoramique
Robert Bresson : Le cinéma sonore a surtout inventé le silence | Brigitte Bardot : si tu m'aimes, tais-toi ! - LE MEPRIS - GODARD
Leos Carax, de Juliette à Rooney Mara : Mon plus gros travail avec l'acteur, c'est de le choisir. Une actrice, c'est une question, ce n'est pas une réponse. Et ce n'est pas en la déshabillant qu'elle deviendra une réponse à quelque chose. C'est un sphynx
Casting. La technique du forcing, méthode jeune premier agricole. - Bertrand Blier : Sa technique (Gérard Depardieu, pour obtenir le rôle principal des Valseuses), c'était de venir tous les jours. Il y avait une espèce d'encerclement
Kubrick, Shining - la Steadicam comme narrateur : c'est l'hôtel qui voit les événements. L'hôtel comme conscience vivante
Vimala Pons / Louis Jouvet : tout est suspect sauf le corps et ses sensations. Parfois moi je sais plus où j'en suis, de revenir à des choses simples, ça me calme quoi
Ariane Mnouchkine : Elle est peut-être en train de finir, cette ère du cynisme bien vu, du désenchantement comme signe d'intelligence. Il faut cultiver un enchantement indispensable
Jean-Luc Godard : Ce n'est pas grave de dire "oui" quand un autre dit "non". Mais quand le malentendu est déclenché, alors c'est grave. A la fin, c'est une catastrophe. C'est l'histoire du Mépris
A propos du Gros Plan et du visage humain (Mise en scène Cinéma / Théâtre). Paroles d'Antonioni, Bergman, Bresson, Chéreau, Godard, Larrain, Renoir, Syberberg, Tati, Truffaut, Vitez, Welles | + Proust
Pierre Berthomieu, POSITIF : Song to Song. Aucun film de Malick ne donnait à ce point un vertige troublant du réel saisi dans une perspective physique. Inlassable, la caméra révère les courbes des hanches, le bas-ventre féminin, comme le Song of Songs
Jean Aurel : érotique du scénario. Les gens croient plus à ce qu'ils devinent qu'à ce qu'ils voient. Le travail du scénariste est de savoir comment cacher et dévoiler. Quand une scène ne cache rien, elle n'est pas bonne. Une scène d'amour comme un meurtre
To The Wonder (A la merveille) | Terrence Malick | Critiques et Analyses | Making of
Alain Badiou : Robert Bresson dit que la jeunesse est tentée par une sorte d'absence radicale. Il fait un cinéma des appels : inclinée sur le suicidaire, c'est la courbe dense d'une nuque de femme
Fritz Lang : lorsque tu as une théorie sur quelque chose, tu es déjà mort. Il nous faut créer des émotions et non suivre des règles. Il n’y a pas de règles
Fellini : mon Casanova et le Barry Lyndon de Kubrick suffoquent tous deux dans un espace vide : l'un est étouffant, l'autre est tellement vaste qu'il en devient également asphyxiant
Asia Argento : Les rêves du film provoquent la réalité de ma vie - Construire une chimère, c’est provoquer la réalité
David Cronenberg : le corps est le fait primordial. Pour moi, le cinéma est fondamentalement tactile, sensuel, pas seulement visuel. Il faut que la pensée s'incarne physiquement
Jessica Lange : Frances Farmer s'est révoltée contre la qualité du travail qu'on lui faisait faire à Hollywood. Un difficile saut dans le réel !
Ariane Labed : J’aimerais bien qu’on puisse se reposer des questions sur les structures narratives du cinéma
François Florent : la perception des physiques et des possibilités d'acteurs n'est pas du tout la même au début et à la fin de la formation
Tim Burton : enfant, ce n'étaient pas les monstres, mais plutôt les humains qui me déroutaient
Robert Bresson, à Jean-Luc Godard : Une chose réussie, disait Paul Valéry, est une transformation d’une chose manquée. Mot admirable
Martin Scorsese : La différence entre Le Parrain, Scarface, Casino, Les Affranchis...
Laurent Terzieff : je ne devais rien et ma liberté de donner était régie par la gratuité et non par le devoir
Deleuze : Antonioni a toujours cru aux couleurs du monde, à la possibilité de les créer, et de renouveler toute notre connaissance cérébrale
Gilles Deleuze : le plus important chez Visconti : l'idée, ou plutôt la révélation que quelque chose vient trop tard : la révélation sensible et sensuelle d'une unité de la Nature et de l'Homme
Roland Barthes / Proust : ADORABLE. La coupe d'un ongle, une dent un peu cassée en biseau, une mèche, une façon d'écarter les doigts... Pour que je trouve l'Image qui, entre mille, convient à mon désir. Grande énigme
Fabrice Luchini et Jean-Laurent Cochet : Le mythe de l'autodidacte... Y'a des limites. Ma vie a été un miracle le jour où dans un cours de théâtre j'ai vu l'immensité du répertoire
Jean-Luc Godard : J'aurais aimé faire Le Mépris avec Kim Novak aussi, en lui gardant le côté complètement passif de Vertigo. Son mystère, c'est sa mollesse
Jean-Luc Godard : Aujourd'hui on ne parle plus. J'aime la dispute. L'avantage du cinéma, de la littérature, de l'art, c'est de faire des disputes violentes, de ne pas chercher le compromis. Les artistes n'ont pas besoin de compromis
Serge Grünberg : Le héros cronenbergien est malade. C'est finalement la maladie qui fait avancer le corps humain vers sa perfection envisageable
Michael Cimino, l'Ouest mythique au cinéma : il n'y avait jamais de figurants à l'arrière-plan, les rues étaient toujours vides, parce que c'était simplement moins cher à faire
François Truffaut, direction d'acteurs : la ruse est importante. Indications à l'insu des acteurs
Antonioni à Godard : tous ces plans d'objets, c’est une sorte de distraction du personnage; Il est las d’entendre toutes ces conversations. Il pense à Giuliana
Truffaut : ça peut paraître naïf aux gens, mais les acteurs sont influencés par ce qu'ils jouent
Godard : le Rohmer que je trouve à fond bien, c'est La Collectionneuse
Orson Welles : Je croyais que le metteur en scène devait tout faire. Gregg Toland ne disait rien et, discrètement, arrangeait un peu les choses derrière mon dos