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AMOUR
Jean-Luc Godard à Anne Wiazemsky : Je suis tombé amoureux de la jeune fille de la photo, d'Au hasard Balthazar, de Robert Bresson
Kate Lindsey | Il n'est ni homme ni femme qui pourrait se dispenser de t'aimer. Car entre les femmes, tu étais le plus beau des hommes. Et entre les hommes, la plus sublime des femmes | CASANOVA VARIATIONS
Eugenio Barba : L'éros et le groupe de théâtre. J'ai plus besoin de chaleur que de lumière, d'amour plus que de clarté
Fabrice Luchini : J'avais un besoin immense d'être aimé et je m'effondrais dès qu'on ne m'aimait plus. Pour les angoissés, il n'y a qu'une obsession, c'est "Allez les verts! !". S'il n'y a pas "Allez les verts !", c'est le chaos
Baudelaire, Proust, Tannhäuser : Vénus se dresse. Toute chair qui se souvient se met à trembler | Hachures de phrases voluptueuses et gémissantes | Vidéo : TANNHAUSER (Andréa Lebris & Nano Silva | Patalano / Hubert Legrand / Wagner)
Proust / Malick : dans l'histoire d'un amour et de ses luttes contre l'oubli, le rêve ne tient-il pas une place plus grande même que la veille... et nous ménage, la nuit, une rencontre avec celle que nous aurions fini par oublier
Malick / Proust / Pardonnez-moi... | Certes nous ignorons la sensibilité particulière de chaque être, mais d'habitude nous ne savons même pas que nous l'ignorons, car cette sensibilité des autres nous est indifférente. Pour ce qui concernait Albertine...
Proust, Albertine disparue : Que ce soient les conditions sociales, les prévisions de la sagesse, en vérité, on n'a pas de prises sur la vie d'un autre être
Marcel Proust, le cadre de la femme la rattache non à la réalité mais à l'imaginaire. L'héroïne enferme dans son visage un peu du décor
Roland Barthes sur scène : Un texte doit aller à qui le désire. Je n'ai aucun sentiment de propriété sur mes livres. S'il est modelé ou déformé, tant mieux ! | Mise en scène des Fragments d'un discours amoureux
Rooney Mara : Una | Benedict Andrews | 'Una' gazes into the heart of a devastating form of love and asks if redemption is possible
VIDEO Les Français | Krzysztof Warlikowski (Marcel Proust - A la recherche du temps perdu)
Vimala Pons / Dostoïevski : vivre de manières complètement différentes plein d'amours en même temps
Vimala Pons / Louis Jouvet : tout est suspect sauf le corps et ses sensations. Parfois moi je sais plus où j'en suis, de revenir à des choses simples, ça me calme quoi
Godard : Il faut laisser les gens vivre leur vie, ne pas les regarder trop longtemps, sinon on finit par n'y plus rien comprendre
Godard : Paul regarde Francesca sans intention précise, comme on regarde un paysage. Camille aperçoit ce regard et Paul s'en aperçoit. Il s'imagine que Camille s'imagine quelque chose
De l'autre côté, chez Christopher Nolan : Inception / Interstellar : STAY! RESTE !
Ces figures d'hommes aux pieds des femmes, chez Terrence Malick
Jean-Luc Godard : Ce n'est pas grave de dire "oui" quand un autre dit "non". Mais quand le malentendu est déclenché, alors c'est grave. A la fin, c'est une catastrophe. C'est l'histoire du Mépris
Quand le premier échec amoureux conditionne le second (L'Eclipse, Antonioni). Le rapport ayant échoué sur le plan de la compréhension, Vittoria instaure un autre rapport dans lequel la compréhension n'a aucune valeur
Robert Bresson : Dostoïevski. Parce qu'il traite de sentiments et que je crois aux sentiments. Parce que tout chez lui, sans exception, est juste
Personnage, condensation d'humanité. Jouvet / Proust. Tous les bonheurs et tous les malheurs possibles dont nous mettrions dans la vie des années à connaître quelques-uns, et dont les plus intenses ne nous seraient jamais révélés
Michelangelo Antonioni : le personnage-femme, filtre bien plus subtil de la réalité, plus inquiet et plus capable que l'homme de sacrifices et d'amour
Antonioni : Les fous voient des choses que nous ne voyons pas. Avec la raison, on ne s'explique ni le monde, ni l'amour, ni rien d'important. Ne suis pas de ceux qui croient tellement à la raison
Michelangelo Antonioni : Enfin, je ne sais pas. Si vous me reposez la question dans dix minutes, peut-être vous répondrais-je autrement
Philippe Grandrieux : Explorer l’âme humaine à travers des personnages complexes c’est quelque chose qui me guide dans mon cinéma et que je retrouve dans la littérature, en particulier chez Dostoïevski ou Proust
Alain Bergala : Les scènes les plus troublantes de Hitchcock sont souvent celles où une tension sexuelle cachée pousse sous le scénario de surface, le déforme, où un motif ordinaire est surinvesti par un affect déplacé, comme dans le rêve
Brit Marling - un orgasme émotionnel
Il est ainsi - Terrence Malick
Céline Sallette et Roland Barthes : aimer à fond quelqu'un d'inconnu, et qui le reste à jamais (Fragments d'un discours amoureux) - Et propos sur l'expérience de l'acteur
Patti Smith : art, livres, opéra, cinéma, Godard, Bresson, et Rock and Roll... : J’ai choisi résolument d’être libre et de n’être dépendante de rien. Sauf de l’art peut-être. Ou de l’amour
Antoine Vitez : Dire Racine. L'emphase est tenue en mépris, car elle semble ne dire autre chose que les passions de l'amour, et il faut parler - dit-on - du gouvernement
Vincent Macaigne, de l'amour : savoir combien de temps t'auras assez d'amour pour les gens, pour résister à la médiocrité des autres ?
Sophie Marceau et Antonioni : les metteurs en scène qui vous aident le plus sont ceux qui provoquent chez vous non pas une réflexion mais un état
Léna (Aurélia Nolin) c'est l'Unique | Gilles Deleuze, Cinéma I : Chez Rohmer, c'est toute une histoire de choix. Le vrai choix est censé tout nous redonner
L'acte de l'artiste, les oeuvres ... les seuls objets indiscutables d'amour, de travail, de désir, les seuls moyens de rédemption | Paul Valéry
Antonioni : dans le cinéma, j'ai commencé à m'intéresser aux sentiments. Une expérience sentimentale s'était mal terminée. C'était à moi de rechercher les raisons
Martin Scorsese : La musique du Mépris de Godard dans Casino. J'adore Le Mépris, ses couleurs, l'usage du Scope. Le sujet aussi : ce couple qui se déchire. La femme qui part avec le producteur. Et la magnifique tristesse de tout cela
Patrice Chéreau : Je veux être grave, mais pas cynique. Profond et léger, comme dit Grüber
Gilles Deleuze : le plus important chez Visconti : l'idée, ou plutôt la révélation que quelque chose vient trop tard : la révélation sensible et sensuelle d'une unité de la Nature et de l'Homme
Gilles Deleuze / Minnelli : si vous êtes pris dans le rêve de l'autre, vous êtes foutu
Todd Haynes : J’ai repris le livre de Barthes, Fragments d’un discours amoureux, en travaillant sur Carol car c’est vraiment de ça que parle le film : le théâtre fou et solitaire de l’imagination amoureuse