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ART DU THEATRE
Du corps et par le corps | Jean-François Dusigne, La direction d'acteurs peut-elle s'apprendre ?
Marcel Proust : Ces gestes instables perpétuellement transformés, ces tableaux successifs, c'était le résultat fugitif, le mobile chef-d'oeuvre que l'art théâtral se proposait et que détruirait en voulant le fixer l'attention d'un auditeur trop épris
Patrice Chéreau : J'avais vu dans le hall de grands panneaux : "Groupe Théâtral du Lycée Louis-le-Grand, Inscrivez-vous". Soif d'apprendre, de me forger parallèlement au lycée ma propre culture
Antoine Vitez : J'ai pensé à l'émerveillement d'Alceste, perpétuellement retrouvé, devant elle. C'est la contradiction entre les mots et l'image du désir qui donne le "comique"
Jerzy Klesyk / Anatoli Vassiliev : Si l'on dit ce que l'on sait déjà nous sommes déjà dans le cliché. C'est l'énigme qui personnellement me maintient en éveil
Claire Lasne Darcueil (CNSAD) : Par de telles impostures on trouve l'énergie de redécouvrir les textes, les personnes, le monde ; dans l'appétit de transformer tout, puisqu'on ne sait rien du tout
Antoine Vitez : C'est comme un cercle. Si tu ne sais pas parler, je ne dois peut-être pas chercher à t'apprendre la parole, mais à t'aider dans ta marche, et alors tu parleras. Si tu marches mal, il faudra peut-être t'aider à chanter
Dominique Blanc : Je le fais toujours avant d'entrer en scène : le scanner, la méditation de pleine conscience. On repasse en pensée toutes les parties du corps. Un quart d'heure, cinq minutes...
Walter Felsenstein : Quiconque n'est pas naïf n'a rien à faire dans un théâtre ! / Siegfried Melchinger : Brecht, dans ses dernières années, estimait que la naïveté était la forme suprême de l'esthétique
Marcello Mastroianni : Quel dommage que le cinéma possède le gros plan ! Parce que je viens du théâtre et qu'au théâtre, le corps est encore plus important, la voix aussi. Le regard beaucoup moins
José Van Dam : Un metteur en scène m'a dit un jour : "Moins on bouge sur scène, plus on devient fort, plus le moindre geste prend de l'importance".
Nietzsche avait été amené à rejeter la musique dramatique : "Cette musique demande très sérieusement que l'on ait les oreilles là où se trouvent les yeux"
Springsteen, le bosseur : Il dit qu'il a un diplôme de rock'n'roll. Il a étudié les plus grands. Il voulait comprendre les lois du succès, mais aussi pourquoi tant ont chuté. Il se préparait à surgir, puis à durer. La plus grande bête de scène au monde
Il nous faut "réapprendre l'émerveillement", écrivait Ionesco. Le parfait contraire de l'indifférence. "J'avais une méthode pour me tirer de la tristesse ou de la peur", confiait Ionesco
Le maître à l'acteur : En arrivant ici tu attendais trop de moi. Il fallait que tu t'accommodes à moi, que je perde de mon importance pour que je puisse te parler sans te décevoir
Sheila : C'est un métier de lumière. Le jour où ça va moins bien, vous êtes rayée des listes, vous êtes rayée de tout le monde, le téléphone ne sonne plus... C'est pas un monde où on partage
Eric Lacascade : Sans les acteurs, d'ailleurs, je n'ai pas de fantasme. Daria Lippi est le guide et la possibilité de mes fantasmes. Mes hypothèses vivent au travers de son corps
Francine Landrain : on est allé au bout dans la déconstruction, plus loin que ça, on va tous mourir. Il faut retourner joyeusement et naïvement au spectacle, à la narration, au personnage : THE SHOW MUST GO ON
Jacques DELCUVELLERIE, le Groupov : Je leur propose cet accouchement impossible de l'in-ouï, la phrase de Joyce que je cite toujours : Je veux serrer dans mes bras la beauté qui n'a pas encore paru au monde
David Lescot : J'aime la photographie de théâtre. Je me souviens d'avoir donné des indications à un comédien en lui rappelant comment il se tenait sur la photo d'un spectacle que je n'ai pas vu
Alan Schneider, à propos des critiques : A mesure que l'on monte les nouvelles pièces, les anciennes s'améliorent (à leurs yeux) tandis que la pièce en cours est détestable
Jean-Marie Piemme : Ecrivant pour l'actrice, le théâtre m'exprime parce qu'il me cache. Le théâtre a ceci de jouissif que le "je" qui parle s'y dit d'autant mieux qu'il s'avance sous les traits multiples et contradictoires des personnages qui s'affrontent
Christophe Honoré : Ne plus vouloir entendre parler du théâtre n'est pas si éloigné de ne plus vouloir entendre parler du vivant. L'idée que le théâtre pue, comme le vivant sent mauvais, est de plus en plus commune dans le milieu cinématographique
Anne-Cécile Vandalem : On s'obstine à vouloir gagner, alors que dans la réalité, la plupart du temps, on perd. Pour moi, regarder la perte en face et la sublimer, c'est se redonner de la puissance
Maëlle Poésy : On pose toujours les mêmes questions aux femmes-metteurs en scène, si nous traduisons un point de vue féminin sur le monde. Mais on ne demande jamais aux metteurs en scène hommes s'ils imprègnent les leurs d'un regard masculin
Christine Letailleur : Poser un regard de femme sur des territoires du désir, de la sexualité, de l'érotisme, voire de la pornographie, dérange, comme si ces domaines appartenaient aux hommes, qu'ils en avaient délimité les contours, leurs représentations
Grzegorz Jarzyna : Ce qui me manque le plus au théâtre, c'est la possibilité de s'approcher pour voir le visage du comédien. Comment trouver un procédé équivalent au plan rapproché au théâtre ?
Proust / Bresson / Dostoïevski : les cent masques qu'il convient d'attacher à un même visage ; faire varier aussi la lumière du ciel moral selon les différences de pression de notre sensibilité ; des courants et des contre-courants
Stanislas NORDEY : La question de l'espace ne se pose même pas. C'est juste l'acteur. C'est un tout petit espace. Diriger un acteur. Le plaisir intense d'observer, de regarder un acteur qui parle, qui dit
Marcel Proust : Aujourd'hui quand une femme agit bien, c'est par une revanche de sa nature instinctive sur sa morale, c'est-à-dire sur son immoralité théorique (voyez le théâtre de MM. Halévy et Meilhac)
Eugenio Barba : Moduler sa propre énergie est une technique que le metteur en scène doit obligatoirement apprendre : comment raconter, créer un espace vaste ou intime autour de soi, éveiller le sentiment de complicité et l'enthousiasme de l'aventure
Du théâtre au cinéma : un style Comédie-Française ? - Denis Podalydès : Parce qu'il y a des gens qui viennent au Français pour écouter cette fameuse diction, et qui, s'ils ne l'entendent pas, sont très déçus et le reprochent aux comédiens
La question que se pose Stanislas Nordey face à l'acteur : de quoi est-il fait ? Plutôt que : qu'est-ce qu'il sait faire ? - Nordey : "La naïveté, les désirs, la maladresse m'intéressent"
Jaoui / Bacri : la directrice du théâtre nous a dit : Elle nous plaît, mais faudrait prendre des vedettes. Ben on a dit non, on est allé dans un plus petit théâtre
Nacho Duato | Hofesh Shechter | Staatsballett Berlin | VIDEO
Eugenio Barba : Tell me a story... the rest is silence
Stanislas Nordey : On peut avoir peur de perdre. Or pour moi, la perte, c'est joyeux. C'est libérateur. C'est une nouvelle porte qui s'ouvre
Eugenio Barba : Artaud parlait de l'art de l'acteur comme "une poésie dans l'espace". Dans l'Atelier de Dullin, on proposait comme modèle aux acteurs la peinture japonaise et la poésie de Poe, Baudelaire et Mallarmé
Jean Cocteau : Les critiques jugent l'oeuvre et ne savent pas qu'ils sont jugés par elle
Eugenio Barba : Le hasard est une guenon agressive qui saute d'arbre en arbre, tu dois t'accrocher et la serrer très fort pour ne pas tomber tandis qu'elle te hisse vers la cime d'un arbre chargé de fruits
Johanna HESS comédienne TNS (Diplômée 2016)
Stanislas Nordey : Mais ce qui est très important pour moi, c'est ce qui m'échappe. (...) Dès que je vois quelque chose de trop clair pour moi, j'essaie de flouter un tout petit peu pour créer plusieurs sens
Emma LIEGEOIS comédienne TNS (Diplômée 2016)
Etre traversé par un texte, traverser le texte - Stanislas Nordey : Que les acteurs soient nus. Si je pouvais, j'enlèverais aussi les peaux ou le squelette, je trouverais ça magnifique. J'ai de plus en plus de mal quand il faut faire des costumes
Ariane Mnouchkine : Vous avez charge d'âmes. Chacun a son sacré, pour moi le théâtre est sacré. A travers nos capacités d'hospitalité, de beauté visuelle, d'art, mais aussi de tendresse
Stanislas Nordey : Il y a un mystère. Il est motivant. Pour moi, le théâtre ce n'est pas l'endroit de la résolution. Il faut faire confiance au mystère. Il ne faut pas que le mystère soit révélé
Marcel Proust : en entendant l'actrice, chacun attendait que d'autres prissent l'initiative de rire ou de critiquer... On se figure que c'est grotesque, mais, après tout, c'est peut-être magnifique et on attend d'être fixé
Stanislas Nordey : J'ai toujours pensé qu'en en faisant trop, il en ressortait toujours quelque chose. Il y a de tels immobilismes partout... On se disait : "Pour que ça bouge, il faut en faire trop..." On en était conscients
Stéphane Braunschweig : C'est un peu le rôle de cette jeune fille sauvage dans Brand (IBSEN), Gerd : être celle qui arrive et qui dit : tu es aussi toi-même ce vautour noir contre lequel tu luttes
Jean-Pierre Vincent : Stan est armé. Mais il aura besoin de grands et nouveaux poètes. Ce sont les poètes qui vont nous dire des choses sur le monde, pas les metteurs en scène. // Stanislas Nordey : Ce qui m'éblouit vraiment, c'est la littérature
Eugenio Barba : L'éros et le groupe de théâtre. J'ai plus besoin de chaleur que de lumière, d'amour plus que de clarté
Eugenio Barba : La pensée créatrice n'est pas rectiligne, univoque, pré-visible. C'est le sujet d'une science labyrinthique. Picasso peint le tableau qu'il a tiré mentalement des difficultés dans lesquelles il s'était jeté en peignant la toile précédente
Andrzej Seweryn : Notre art est un art mystérieux. Il y a des règles pour les exercices, mais il n'y a pas de règle de l'art. Les imperfections des acteurs devenaient leurs armes, aux yeux des metteurs en scène
Hans-Thies Lehmann : Dans d'autres performances, c'est la réalité du corps menacé : lorsque Marina Abramowicz se présente aux spectateurs, leur faisant part que la règle du jeu consistait pour eux à faire d'elle tout ce qui leur chantait
Stanislas Nordey : J'ai été inquiété par des formes... Vincent Macaigne... Je me suis dit : "Tu vieillis, mon gars." Ils sont en train de chercher des choses très crues. ça m'a obligé à me réinterroger sur mon rapport à la représentation
Philippe Adrien, CNSAD : Stanislavski n'a qu'un but : déjouer le souci de séduire qui va de pair avec l'embarras... Sa stratégie pour mettre en veilleuse cette part narcissique de l'acteur : occuper son corps et son esprit
Le narrateur proustien le remarque : la présence de l'acteur vivant est liée à la fois au non-vivant et au non-présent : loin de n'être que ce qui s'attache au spectacle, c'est aussi ce qu'il en reste, ce qui s'ajoute à ce reste
Stanislas Nordey, pédagogue : J'étais très attentif à qui vient après qui. ça c'est toujours très compliqué. Les élèves peuvent être rapidement perdus si tu ne fais qu'empiler des enseignements contradictoires
Stéphane Braunschweig : auditions d'entrée en jeu à l'école du TNS. On reconnaît tout de suite ceux qui font semblant de faire semblant ou ceux qui font semblant dans leur être
Ils sont treize. Qui est le Judas parmi eux, qui les empêchera d’être sauvés ? Cruauté d’une société qui ne peut se passer de bouc émissaire | Le Radeau de la Méduse | TNS Thomas Jolly
Pippo Delbono : On trahit plus facilement si l'on cherche à être fidèle, on ne peut pas oublier le vivant. Lorsque j'ai conçu La Rabbia, je n'ai pas cherché à respecter Pasolini, ou bien à l'imiter
Benno Besson : C'est détestable de voir intimider les gens avec des concepts abstraits, et au fond ça devient des instruments de blocage. Au lieu de laisser aux gens leur perception sensuelle et émotionnelle aussi bien qu'intellectuelle
Howard Barker : Comme une vieille femme qui jour après jour raccourcit sa promenade, le théâtre redoute de s'éloigner du périmètre moral où il réside... mais cette maison pue... ! Il vous faut de l'air frais... !
Stéphane Braunschweig : Il y a une fracture entre les metteurs en scène qui envisagent le texte comme texte et ceux qui l'envisagent comme matériau. Ce qui fait la différence, c'est la place de l'auteur
Stéphane Braunschweig | Faux coupable et responsabilité chez Hitchcock, Kafka, Kleist, Nietzsche, Dostoïesvki, Proust | Fantasme d'irresponsabilité chez Kleist - Quelque chose qui serait le mal pour toute l'éternité ?
Orlan : Je crois qu'il y a autant de contraintes exercées sur le corps des femmes qu'il y en a sur le corps même des oeuvres d'art | Orlan et la désacralisation du corps - Josette Féral
Le postmodernisme est vieux. On est au-delà du postmodernisme | Kevin Kuhlke, directeur de l'Experimental Theatre Wing of the Tisch School of the Arts - New York University
Stanislas Nordey : Critères de recrutement des acteurs. La notion de bons et de mauvais acteurs. La petite lumière. Qu'ils soient des rêveurs. Une histoire de désir
Fabrice Luchini : Aucune envie chrétienne. Je n'ai jamais résolu un truc étrange. Je propose des textes ahurissants, je me confronte à eux jusqu'à l'épuisement. Ils sont ma raison d'être, et je souffre que des gens heureux viennent les entendre
Stéphane Braunschweig : A travers les rêves et les cauchemars de Wotan, Wagner nous livre les angoisses que ce monde lui inspire ; à travers ceux de Brünnhilde, il questionne l'utopie de redonner sens au chaos
Stanislavski : Cette incompréhension de notre art : on adresse des louanges à l'acteur qui s'adressent au metteur en scène, ou au metteur en scène - à la place du poète, ou au poète - quand il s'agit de l'acteur
Stanislavski : La palette des acteurs-débutants est pauvre en couleurs. Ils peinent sur leur rôle dans un ton monocorde, sans ombres, reflets, demi-tons, éclaircies, transitions. Si un peintre procédait de la sorte, au lieu de son tableau...
Pippo Delbono : Mon théâtre est le théâtre de la contradiction, c'est la base du training. Je suis fait de contradictions et mon théâtre est pétri de contradictions, parce que j'ai peur des méthodes qui peuvent faire oublier la vie
Peter Brook : Si on laisse la pièce s'exprimer toute seule, on peut très bien ne rien entendre du tout. Si l'on veut que la pièce soit entendue, alors il faut savoir la faire chanter
Sophie Demeyer, Je pensais vierge mais en fait non. Joseph Danan: Elle sort nous laissant seuls dans l'appartement vide de sa présence à elle. Il y a eu théâtre. Nous avons, ce soir-là, dans ce lieu-là, vécu quelque chose, éprouvé le vertige de l'absence
Claude Régy : J'essaie de faire que l'acteur ne prenne pas à son compte l' "activité", comme le nom d' "acteur" semblerait devoir l'y pousser. Apprendre la passivité, façon de s'oublier soi-même pour se laisser traverser par des forces
Sigrid Bouaziz : Au théâtre 90 % du temps on s’ennuie, c’est un fait / Roland Barthes : Nos critiques eux-mêmes sont fort pudiques sur l'ennui : en parler est choquant
Peter Brook : Pour ceux qui étaient présents seulement
Isabelle Adjani : Je rêvais d'être possédée par la force des textes, et dans le murmure de l'âme. Pour moi, la vocation c'était le théâtre, puisque c'était le texte. Mon livre de chevet scolaire, c'était le Racine de Barthes
Lee STRASBERG / STANISLAVSKI / Yoshi OIDA / Marcel PROUST : Par la recherche de la couleur opposée, il obtint le résultat désiré ; une réalité qui était proportionnée à la nature complexe de la réalité de la vie
Marcel Proust : Toutes mes conversations avec mes camarades portaient sur ces acteurs dont l'art, bien qu'il me fût encore inconnu, était la première forme, entre toutes celles qu'il revêt, sous laquelle se laissait pressentir par moi l'Art
Théâtre et Cinéma
Etre naturelle, ne rien faire de façon exagérée, ce qui est purement négatif, car le bien, dans ce cas, n'est que l'absence d'erreur, mais pas encore la présence de ce qui est juste | Le travail à l'Actors Studio
Barthes : N'y-a-t-il donc aucun moment où l'Eros racinien soit heureux ? Le corps adverse est bonheur seulement lorsqu'il est image. Le héros racinien ne parvient jamais à une conduite juste en face du corps d'autrui ; la fréquentation réelle est un échec
La peur de se laisser emporter en utilisant quelque chose de très personnel | Lee Strasberg / Kazan / Braunschweig / Malick / Proust. Si quelqu'un essaie toujours de satisfaire son prochain, comment peut-il faire autrement que d'une façon conventionnelle?
Luchini : Jouvet, Bouquet, ces deux maîtres qui chérissent la dépersonnalisation sont des acteurs à la personnalité écrasante... Sans doute n'est-il pas possible d'énoncer une théorie du jeu de l'acteur : il n'y a que des pratiques d'acteurs singulières
BONO (U2) : On a créé une voix pour le personnage de THE FLY. En descendant de plusieurs tons, en abaissant ma voix jusque dans le caniveau, ça me permettait d'utiliser un vocabulaire complètement différent. J'allais mettre mon coeur à nu, alors..
Ariane Mnouchkine : un supporter, un metteur en scène : quelqu'un qui, par sa crédulité, sa confiance, permet à l'acteur de retrouver sa propre crédulité, sa propre confiance et, donc, les visions salvatrices
Fabrice Luchini : Au cinéma, j'ai découvert que la somnolence y est essentielle. Si vous êtes somnolent, la caméra fait de vous ce qu'elle veut. Si vous la ramenez trop, vous encombrez. Il faut atteindre cet état que Louis Jouvet qualifiait de vacant
Lee Strasberg : fendre du bois avant d'entrer en scène pour ne pas confondre le jeu avec l'excitation et le besoin de faire un tas de choses pas nécessaires
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